Le mot si doux à mes oreilles
il chante, il virevolte, il se pose
Comme une prose
Au creux de mon oreille
Dans mon corps, il résonne
Tel un cri de joie ou de tristesse
L'apaisement, le frôlement
Tel une plume, il est là avec douceur
Il envahit mon être
Ne plus penser à rien
Les yeux fermés
L'écouter et s'endormir
Pour essayer d'oublier.
- AUTEURE: MARINE
vendredi 23 mars 2012
UNE PLACE POUR LA VIEILLESSE
À travers tous les âges, il y avait une place maîtresse, pour la vieillesse.
On les vénéraient, telle une déesse.
Car leurs connaissances, étaient notre richesse.
Ils possédaient en eux la sagesse.
Qui manquait tant à la jeunesse.
Leurs paroles n'étaient que justesse, qui inspiraient à la promesse, d'un monde d'allégresse,
Qu'ils légueraient sans maladresse.
Telle une hôtesse avec grandesse.
Jusqu'à la fin, dans leurs forteresses.
Ils étaient traités avec finesse, en reconnaissance de leurs promesses.
Aujourd'hui,nous agissons comme une traîtresse, avec une mentalité de diablesse.
Certains vous diront, qu'ils progressent dans ce monde ou tout n'est que vitesse.
Et que tout à chacun se moleste, pour un peu plus de richesse.
Et notre vieillesse, on la compresse,tous à la même adresse, sans aucune délicatesse, ni noblesse.
Car on l'a délesté, comme une vieille chaussette.
Hé bien moi, votre super-forteresse,je trouve qu'elle régresse,
Lorsqu'elle m'offre comme seule promesse, le stress, les bassesses, l'étroitesse, comme seule maîtresse.
Entre hier et aujourd'hui, la sagesse est devenue "sauvagesse".
- AUTEURE: LOUCOQ
On les vénéraient, telle une déesse.
Car leurs connaissances, étaient notre richesse.
Ils possédaient en eux la sagesse.
Qui manquait tant à la jeunesse.
Leurs paroles n'étaient que justesse, qui inspiraient à la promesse, d'un monde d'allégresse,
Qu'ils légueraient sans maladresse.
Telle une hôtesse avec grandesse.
Jusqu'à la fin, dans leurs forteresses.
Ils étaient traités avec finesse, en reconnaissance de leurs promesses.
Aujourd'hui,nous agissons comme une traîtresse, avec une mentalité de diablesse.
Certains vous diront, qu'ils progressent dans ce monde ou tout n'est que vitesse.
Et que tout à chacun se moleste, pour un peu plus de richesse.
Et notre vieillesse, on la compresse,tous à la même adresse, sans aucune délicatesse, ni noblesse.
Car on l'a délesté, comme une vieille chaussette.
Hé bien moi, votre super-forteresse,je trouve qu'elle régresse,
Lorsqu'elle m'offre comme seule promesse, le stress, les bassesses, l'étroitesse, comme seule maîtresse.
Entre hier et aujourd'hui, la sagesse est devenue "sauvagesse".
- AUTEURE: LOUCOQ
LA MUSIQUE
La musique souvent me prend comme une mer !
Vers ma pâle étoile,
Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
Je mets à la voile;
La poitrine en avant et les poumons gonflés
Comme de la toile
J'escalade le dos des flots amoncelés
Que la nuit me voile;
Je sens vibrer en moi toutes les passions
D'un vaisseau qui souffre;
Le bon vent, la tempête et ses convulsions
Sur l'immense gouffre
Me bercent. D'autres fois, calme plat,
grand miroir
De mon désespoir ?
- BEAUDELAIRE
- TOUS DROITS RÉSERVÉS-
- TRADUIT PAR LE POÈTE FRANÇAIS,
- PROSPER MÉRIMÉE (1803-1870)
- 14 AVRIL 1852
Vers ma pâle étoile,
Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
Je mets à la voile;
La poitrine en avant et les poumons gonflés
Comme de la toile
J'escalade le dos des flots amoncelés
Que la nuit me voile;
Je sens vibrer en moi toutes les passions
D'un vaisseau qui souffre;
Le bon vent, la tempête et ses convulsions
Sur l'immense gouffre
Me bercent. D'autres fois, calme plat,
grand miroir
De mon désespoir ?
- BEAUDELAIRE
- TOUS DROITS RÉSERVÉS-
- TRADUIT PAR LE POÈTE FRANÇAIS,
- PROSPER MÉRIMÉE (1803-1870)
- 14 AVRIL 1852
LA CHANSON (DU POÈME " LES BOHÉMIENS")
L'oiselet du bon Dieu
ne connait ni souci ni travail,
Pourquoi se fatiguerait-il
à tresser un lit solide et durable?
La nuit est longue
Un rameau lui suffit pour dormir.
Vienne le soleil en sa gloire,
L'oiselet entend la voix de Dieu.
Il secoue ses plumes
et chante sa chanson.
Après le printemps,
Splendeur de la nature,
vient l'été avec ses ardeurs;
Puis arrive le tardif automne
amenant brouillards et froidure.
Pauvres humains, tristes humains !
Venus de lointaines contrées,
en de tièdes climats,
au-delà de la mer bleue,
L'oiselet s'envole
jusqu'au printemps.
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE,
- TOUS DROITS RÉSERVÉS -
ne connait ni souci ni travail,
Pourquoi se fatiguerait-il
à tresser un lit solide et durable?
La nuit est longue
Un rameau lui suffit pour dormir.
Vienne le soleil en sa gloire,
L'oiselet entend la voix de Dieu.
Il secoue ses plumes
et chante sa chanson.
Après le printemps,
Splendeur de la nature,
vient l'été avec ses ardeurs;
Puis arrive le tardif automne
amenant brouillards et froidure.
Pauvres humains, tristes humains !
Venus de lointaines contrées,
en de tièdes climats,
au-delà de la mer bleue,
L'oiselet s'envole
jusqu'au printemps.
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE,
- TOUS DROITS RÉSERVÉS -
LE PROPHÈTE
Tourmenté d'une soif spirituelle,
j'allais errant dans un sombre désert,
et un séraphin à six ailes m'apparut
à la croisée d'un sentier.
De ses doigts légers comme un songe,
il toucha mes prunelles.
Mes prunelles s'ouvrirent voyantes
Comme celles d'un aiglon effarouché.
Il toucha mes oreilles,
elles se remplirent
de bruits et de rumeurs.
Et je compris l'architecture des cieux
et le vol des anges au-dessus des monts,
et la voie de essaims
d'animaux marins sous les ondes,
le travail souterrain
de la plante qui germe.
Et l'ange, se penchant vers ma bouche,
m'arracha ma langue pécheresse,
la diseuse de frivolités et de mensonges,
et entre mes lèvres glacées
sa main sanglante
il mit le dard du sage serpent.
D'un glaive il fendit ma poitrine
et en arracha mon coeur palpitant,
et dans ma poitrine entrouverte
il enfonça une braise ardente,
Tel un cadavre,
j'étais gisant dans le désert,
Et la voix de Dieu m'appela:
Lève-toi prophète,
vois, écoute et parcourant
et les mers et les terres,
Brûle par la Parole
les coeurs des humains.
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE
- TRADUIT PAR LE POÈTE FRANÇAIS
-PROSPER MÉRIMÉE (1803-1870)
-21 MARS 1856
-TOUS DROITS RÉSERVÉS
j'allais errant dans un sombre désert,
et un séraphin à six ailes m'apparut
à la croisée d'un sentier.
De ses doigts légers comme un songe,
il toucha mes prunelles.
Mes prunelles s'ouvrirent voyantes
Comme celles d'un aiglon effarouché.
Il toucha mes oreilles,
elles se remplirent
de bruits et de rumeurs.
Et je compris l'architecture des cieux
et le vol des anges au-dessus des monts,
et la voie de essaims
d'animaux marins sous les ondes,
le travail souterrain
de la plante qui germe.
Et l'ange, se penchant vers ma bouche,
m'arracha ma langue pécheresse,
la diseuse de frivolités et de mensonges,
et entre mes lèvres glacées
sa main sanglante
il mit le dard du sage serpent.
D'un glaive il fendit ma poitrine
et en arracha mon coeur palpitant,
et dans ma poitrine entrouverte
il enfonça une braise ardente,
Tel un cadavre,
j'étais gisant dans le désert,
Et la voix de Dieu m'appela:
Lève-toi prophète,
vois, écoute et parcourant
et les mers et les terres,
Brûle par la Parole
les coeurs des humains.
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE
- TRADUIT PAR LE POÈTE FRANÇAIS
-PROSPER MÉRIMÉE (1803-1870)
-21 MARS 1856
-TOUS DROITS RÉSERVÉS
MON PORTRAIT... (À BARON P.F.GREVENICE)
Vous me demandez mon portrait,
Mais peint d'après nature:
Mon cher, il sera bientôt fait,
Quoique en miniature.
Je suis un jeune polisson
Encore dans les classes;
Point sot, je le dis sans façon
Et sans fades grimaces.
Oui, il ne fait de babillard,
Ni docteur de Sorbonne
Plus ennuyeux et plus braillard
Que moi-même en personne.
Ma taille, à celles des plus longues,
Las n'est point égalée;
J'ai le teint frais, les cheveux blonds
Et la tête bouclée.
J'aime et le monde et son fracas
Je haïs la solitude;
J'abhorre et noises, et débats,
Et tant soit peu l'étude.
Spectacles, bals me plaisent fort,
Et d'après ma pensée,
Je dirais ce que j'aime encore,
Si je n'étais au Lycée.
Après cela, mon cher ami,
L'on peut me reconnaître:
Oui! Tel que le bon Dieu me fit,
Je veux toujours paraître.
Vrai démon pour l'espièglerie,
Vrai singe par sa mine,
Beaucoup trop d'étourderie,
Ma foi, voilà Pouchkine. (1814)
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE (1814)
- ÉDITIONS DE A.S. SOUVORIN, RUSSIE 1903)
Mais peint d'après nature:
Mon cher, il sera bientôt fait,
Quoique en miniature.
Je suis un jeune polisson
Encore dans les classes;
Point sot, je le dis sans façon
Et sans fades grimaces.
Oui, il ne fait de babillard,
Ni docteur de Sorbonne
Plus ennuyeux et plus braillard
Que moi-même en personne.
Ma taille, à celles des plus longues,
Las n'est point égalée;
J'ai le teint frais, les cheveux blonds
Et la tête bouclée.
J'aime et le monde et son fracas
Je haïs la solitude;
J'abhorre et noises, et débats,
Et tant soit peu l'étude.
Spectacles, bals me plaisent fort,
Et d'après ma pensée,
Je dirais ce que j'aime encore,
Si je n'étais au Lycée.
Après cela, mon cher ami,
L'on peut me reconnaître:
Oui! Tel que le bon Dieu me fit,
Je veux toujours paraître.
Vrai démon pour l'espièglerie,
Vrai singe par sa mine,
Beaucoup trop d'étourderie,
Ma foi, voilà Pouchkine. (1814)
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE (1814)
- ÉDITIONS DE A.S. SOUVORIN, RUSSIE 1903)
STANCES... (À EUDOXIE)...
Avez-vous vu la tendre rose,
L'aimable fille d'un beau jour,
Quand au printemps à peine éclos,
Elle est l'image de l'amour ?
Telle à nos yeux, plus belle encore,
Parut Eudoxie aujourd'hui !
Plus d'un printemps la vit éclore,
Charmante et jeune comme lui.
Mais, hélas ! Les vents, les tempêtes,
les fougueux enfants de l'hiver,
Bientôt vont gronder sur nos têtes,
Enchaîner l'eau, la terre et l'air.
Et plus de fleurs, et plus de rose,
L'aimable fille des amours
Tombe fanée à peine éclose:
Il a fui, le temps des beaux jours:
Eudoxie, aimez! Le temps presse;
Profitez de vos jours heureux!
Est-ce dans la froide vieillesse
que de l'amour on sent les feux ?
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE (1814)
(ÉDITIONS DE A.S.SOUVORIN, RUSSIE 1903)
- TOUS DROITS RÉSERVÉS
L'aimable fille d'un beau jour,
Quand au printemps à peine éclos,
Elle est l'image de l'amour ?
Telle à nos yeux, plus belle encore,
Parut Eudoxie aujourd'hui !
Plus d'un printemps la vit éclore,
Charmante et jeune comme lui.
Mais, hélas ! Les vents, les tempêtes,
les fougueux enfants de l'hiver,
Bientôt vont gronder sur nos têtes,
Enchaîner l'eau, la terre et l'air.
Et plus de fleurs, et plus de rose,
L'aimable fille des amours
Tombe fanée à peine éclose:
Il a fui, le temps des beaux jours:
Eudoxie, aimez! Le temps presse;
Profitez de vos jours heureux!
Est-ce dans la froide vieillesse
que de l'amour on sent les feux ?
- AUTEUR: ALEXANDRE POUCHKINE (1814)
(ÉDITIONS DE A.S.SOUVORIN, RUSSIE 1903)
- TOUS DROITS RÉSERVÉS
LE SOLEIL ET LA MER
Le soleil essaie avec rage
De se frayer un passage
Au travers de ces nuages
Qui lui font un barrage !
Il voudrait jouer, sourire
Avec la mer qui se balance
Au gré des vents et des désirs
Qui naissent de sa danse !
Mais pleine d'insouciance
Et sous les caresses d'Eole
Les vagues reculent et avancent
Et font une folle farandole !
Le soleil est amoureux...
La mer se joue de ses clins d'oeil...
Il n'en peut plus, ferme les yeux...
Elle va s'échouer sur un écueil !
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
De se frayer un passage
Au travers de ces nuages
Qui lui font un barrage !
Il voudrait jouer, sourire
Avec la mer qui se balance
Au gré des vents et des désirs
Qui naissent de sa danse !
Mais pleine d'insouciance
Et sous les caresses d'Eole
Les vagues reculent et avancent
Et font une folle farandole !
Le soleil est amoureux...
La mer se joue de ses clins d'oeil...
Il n'en peut plus, ferme les yeux...
Elle va s'échouer sur un écueil !
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
LE PETIT CLOWN
Alors le petit clown s'est endormi
Las de ses cabrioles
Las de ses chemins
Il ne voulait plus lutter
Et puis il a vu dans cette nuit
Les sourires et la joie qu'il a donné
Alors le petit clown s'est grimé
Alors le petit clown s'est avancé
Seul sur la piste de sa vie,
À l'éclairage assombrit
Il a encore donné
Et il a vu ces sourires
Il a entendu ces rires et cette joie
Et demain il sera encore là
Lui seul mais juste capable d'exister
Avec ses faiblesses et ses blessures
Oui il donnera encore le rire
Oui il donnera sans compter
Même si le spectacle est terminé
Son coeur saignera
Il donnera encore
Car donner
C'est plus que recevoir
Et quand il partira
Il demeurera
Il demeurera un souvenir
Un rire
Il continuera d'exister
Pour l'éternité.
-AUTEUR: EFFETMER
Las de ses cabrioles
Las de ses chemins
Il ne voulait plus lutter
Et puis il a vu dans cette nuit
Les sourires et la joie qu'il a donné
Alors le petit clown s'est grimé
Alors le petit clown s'est avancé
Seul sur la piste de sa vie,
À l'éclairage assombrit
Il a encore donné
Et il a vu ces sourires
Il a entendu ces rires et cette joie
Et demain il sera encore là
Lui seul mais juste capable d'exister
Avec ses faiblesses et ses blessures
Oui il donnera encore le rire
Oui il donnera sans compter
Même si le spectacle est terminé
Son coeur saignera
Il donnera encore
Car donner
C'est plus que recevoir
Et quand il partira
Il demeurera
Il demeurera un souvenir
Un rire
Il continuera d'exister
Pour l'éternité.
-AUTEUR: EFFETMER
HOMMAGE À UN AMI DISPARU
Et je m'ennuie,là, doucement,
Le vide, la paralysie.....
Pas de larmes, l'éloignement,
L'angoisse de cette autre vie...
Alors j'ai peur de revenir,
Comprendre la fin du rêve...
Et je ne veux pas découvrir
Que le soleil ne se lève...!
Une menace en moi gronde,
L'absence et le manque...!
Le corps abandonne le monde,
Il s'échappe et tangue....!
Il lance des cris sourds,
Les désirs rampent sous la peau...
L'esprit se tait,il parcourt,
Les chemins du coeur et de l'amour !!!!! Solveig
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Le vide, la paralysie.....
Pas de larmes, l'éloignement,
L'angoisse de cette autre vie...
Alors j'ai peur de revenir,
Comprendre la fin du rêve...
Et je ne veux pas découvrir
Que le soleil ne se lève...!
Une menace en moi gronde,
L'absence et le manque...!
Le corps abandonne le monde,
Il s'échappe et tangue....!
Il lance des cris sourds,
Les désirs rampent sous la peau...
L'esprit se tait,il parcourt,
Les chemins du coeur et de l'amour !!!!! Solveig
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
VOYAGE DANS L'ESPACE
Pour toi je tisserai la toile
Du plus merveilleux des matins
Pour que dans ton coeur se dévoile
Le bonheur des lendemains.
J'allumerai ton ciel d'étoiles
Pour que toutes les nuits soient douces
Dans une belle nuit sans voile,
Pour t'amener sur la grande ourse
Dans ce beau chariot du ciel
Qui nous ouvre la voie lactée
Et dans ton coeur un grand soleil
Aussi beau que l'immensité.
Une belle étoile filante
Viendra allumer le chemin
De sa lueur resplendissante
Pour le plus fabuleux destin
Nous ferons le tour de la terre
Dans le beau chariot du ciel
Qui nous guide vers la lumière
Aux tons plus doux qu'un arc-en-ciel.
Tout là haut, dans la galaxie
Nous sauverons le moment
Le coeur ouvert vers l'infini
Heureux jusqu'à la nuit des temps
Poussière d'étoile !
- AUTEURE: DOUCECOMETE
- TOUS DROITS RÉSERVÉS -
Du plus merveilleux des matins
Pour que dans ton coeur se dévoile
Le bonheur des lendemains.
J'allumerai ton ciel d'étoiles
Pour que toutes les nuits soient douces
Dans une belle nuit sans voile,
Pour t'amener sur la grande ourse
Dans ce beau chariot du ciel
Qui nous ouvre la voie lactée
Et dans ton coeur un grand soleil
Aussi beau que l'immensité.
Une belle étoile filante
Viendra allumer le chemin
De sa lueur resplendissante
Pour le plus fabuleux destin
Nous ferons le tour de la terre
Dans le beau chariot du ciel
Qui nous guide vers la lumière
Aux tons plus doux qu'un arc-en-ciel.
Tout là haut, dans la galaxie
Nous sauverons le moment
Le coeur ouvert vers l'infini
Heureux jusqu'à la nuit des temps
Poussière d'étoile !
- AUTEURE: DOUCECOMETE
- TOUS DROITS RÉSERVÉS -
FACE À LA MER
Avec le temps,La vérité et le mensonge se confondent,
Je repousse les limites de me rapprocher de l'impossible...
Je voudrais remplir le vide,
effacer l'éphémère...
Oui !!! Un rêve !!!
Dans l'éternité,
Les instants fondent comme des flocons au soleil !
Le monde est là, oui,là où l'on s'arrête,
là où l'on regarde,
là où la lumière éclaire le chemin !
La réalité est difficile et amère !
L'imagination est plus poétique, plus magique !
Il faut vivre dans le monde,
dans son monde...!
Voyage, voyage ..!
Les yeux fermés,
je regarde le soleil se coucher....
Mais il me manque la sensualité, l'émotion,
quelque chose.
qui ronge à l'intérieur !!!!
Le hasard nous trompe...
Mais il est là, il joue
comme le soleil derrière les nuages...
Il disparaît puis transforme la destinée...
Puis la réflexion se fait doucement
et démonte le mécanisme du rêve...
L'obscurité avance, il faut rentrer!!!!
Quand on va jusqu'au bout de la nuit,
on rencontre une autre aurore !!!!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Je repousse les limites de me rapprocher de l'impossible...
Je voudrais remplir le vide,
effacer l'éphémère...
Oui !!! Un rêve !!!
Dans l'éternité,
Les instants fondent comme des flocons au soleil !
Le monde est là, oui,là où l'on s'arrête,
là où l'on regarde,
là où la lumière éclaire le chemin !
La réalité est difficile et amère !
L'imagination est plus poétique, plus magique !
Il faut vivre dans le monde,
dans son monde...!
Voyage, voyage ..!
Les yeux fermés,
je regarde le soleil se coucher....
Mais il me manque la sensualité, l'émotion,
quelque chose.
qui ronge à l'intérieur !!!!
Le hasard nous trompe...
Mais il est là, il joue
comme le soleil derrière les nuages...
Il disparaît puis transforme la destinée...
Puis la réflexion se fait doucement
et démonte le mécanisme du rêve...
L'obscurité avance, il faut rentrer!!!!
Quand on va jusqu'au bout de la nuit,
on rencontre une autre aurore !!!!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
LA MAGIE DES JOURS GRIS
Certains samedi,quand le ciel est gris,
J'aime bien demeurer dans mon lit,
Allongée, les yeux fermés
Je ne voudrais rien faire de la journée.
Pendant qu'une musique apaisante,
Ou qu'une belle chanson que l'on chante,
Vienne me rappeler qui je suis,
Me dire, qu'elle est belle la vie.
Ce qui, souvent fait mon bonheur
Est de pouvoir écouter mon coeur
Qui bat, pour ce dont j'ai rêvé.
Qui voudrait tout voir se réaliser.
On devrait tous les jours nous arrêter.
Fermer nos yeux, nous regarder aller,
La plupart des gens ne le font pas.
Quand être heureux, c'est un peu cela.
Se foutre un peu du système.
Faire seulement des chose qu'on aime
Comme écouter nos airs préférés,
Ou nos beaux souvenirs nous rappeler.
Pour moi, il existe des jours qui sont gris
Ils sont là pour qu'on apprécie la vie.
- TEXTE: CLAUDE MARCEL BREAULT
- COPYRIGHT: BONNE JOURNÉE
J'aime bien demeurer dans mon lit,
Allongée, les yeux fermés
Je ne voudrais rien faire de la journée.
Pendant qu'une musique apaisante,
Ou qu'une belle chanson que l'on chante,
Vienne me rappeler qui je suis,
Me dire, qu'elle est belle la vie.
Ce qui, souvent fait mon bonheur
Est de pouvoir écouter mon coeur
Qui bat, pour ce dont j'ai rêvé.
Qui voudrait tout voir se réaliser.
On devrait tous les jours nous arrêter.
Fermer nos yeux, nous regarder aller,
La plupart des gens ne le font pas.
Quand être heureux, c'est un peu cela.
Se foutre un peu du système.
Faire seulement des chose qu'on aime
Comme écouter nos airs préférés,
Ou nos beaux souvenirs nous rappeler.
Pour moi, il existe des jours qui sont gris
Ils sont là pour qu'on apprécie la vie.
- TEXTE: CLAUDE MARCEL BREAULT
- COPYRIGHT: BONNE JOURNÉE
CLARTÉ
La clarté printanière
De ses rayons lumineux,
a inondé la terre,
A ébloui mes yeux !
L'énergie, en reine,
A envahi mon corps,
Coulant dans mes veines
Jusqu'à noyer mon coeur !
L'illumination divine
A réveillé en moi
Des désirs sublimes,
Des frémissements d'émoi !
Une douceur vermeille
A réchauffé mon âme,
Tremblante comme une flamme
Face à l'immortel soleil !!!!!
Auteure: Solveigh ou Cathi
De ses rayons lumineux,
a inondé la terre,
A ébloui mes yeux !
L'énergie, en reine,
A envahi mon corps,
Coulant dans mes veines
Jusqu'à noyer mon coeur !
L'illumination divine
A réveillé en moi
Des désirs sublimes,
Des frémissements d'émoi !
Une douceur vermeille
A réchauffé mon âme,
Tremblante comme une flamme
Face à l'immortel soleil !!!!!
Auteure: Solveigh ou Cathi
DÉDICACE À RÉAL
Tu es le sourire de mon printemps !
Tu as levé les brumes,
Qui voilaient mon esprit,
Tu as chassé les lunes,
Qui torturaient mes nuits
Tu m'as offert la plume
Qui t'apporte le sourire !
Tu m'as donné confiance
Comme une pierre qu'on lance,
Tu as effacé le silence
Qui encerclait ma danse
Tu es comme un soleil immense
Qui réchauffe et qui panse !
Tu es l'ami d'un jour
Mais l'ami de toujours.
Tu m'as appris des tours
Et des mots de velours...
C'est pour toi et sans détour
Que j'écris ces mots avec amour !!!!
- AUTEURE: SOLVEIG ou Cathi
Tu as levé les brumes,
Qui voilaient mon esprit,
Tu as chassé les lunes,
Qui torturaient mes nuits
Tu m'as offert la plume
Qui t'apporte le sourire !
Tu m'as donné confiance
Comme une pierre qu'on lance,
Tu as effacé le silence
Qui encerclait ma danse
Tu es comme un soleil immense
Qui réchauffe et qui panse !
Tu es l'ami d'un jour
Mais l'ami de toujours.
Tu m'as appris des tours
Et des mots de velours...
C'est pour toi et sans détour
Que j'écris ces mots avec amour !!!!
- AUTEURE: SOLVEIG ou Cathi
SOLEIL
Ô soleil
Fils du Dieu Suprême
Frère de l'arc-en-ciel
Fils du Créateur,
Tu es source de chaleur,
Tu éclaires ma vie,
Tes rayons vivifient !
Tu es la lumière des connaissances,
Tu aiguises la conscience !
Tu répands à profusion
Richesses et moissons !
Tu es le symbole cosmique
Tu es le père mythique !
Tu sublimes en moi
Des sentiments de foi !
C'est en toi que je crois,
Tu es mon guide et mon roi !
Tu es mon prince, mon héros,
Tu rayonnes là-haut !
Tu es l'oeil du jour,
Le rayon de l'amour!!!!!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Fils du Dieu Suprême
Frère de l'arc-en-ciel
Fils du Créateur,
Tu es source de chaleur,
Tu éclaires ma vie,
Tes rayons vivifient !
Tu es la lumière des connaissances,
Tu aiguises la conscience !
Tu répands à profusion
Richesses et moissons !
Tu es le symbole cosmique
Tu es le père mythique !
Tu sublimes en moi
Des sentiments de foi !
C'est en toi que je crois,
Tu es mon guide et mon roi !
Tu es mon prince, mon héros,
Tu rayonnes là-haut !
Tu es l'oeil du jour,
Le rayon de l'amour!!!!!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
COMME
Comme le vol d'un goéland
Au-dessus des champs
Un soir d'hiver blanc
Dans le froid et dans le vent...
Comme une feuille morte
Gisant devant ma porte
Attendant que je sorte
Ou que le vent l'emporte...
Comme une nuit sans lune
Sur le haut de la dune
Enveloppant de brume
Les bateaux sans hune...
Comme une vallée rosie
par les rayons transis
Juste après la nuit
Dans le temps qui fuit...
Comme un coeur en amour
Errant sans retour
Entre jamais et toujours
Tout au long des jours...
La vie s'écoule, passent les heures
En larme, en attente, en souffrance,
En sourires, en peurs,
En émotions, en rire, en patience...!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Au-dessus des champs
Un soir d'hiver blanc
Dans le froid et dans le vent...
Comme une feuille morte
Gisant devant ma porte
Attendant que je sorte
Ou que le vent l'emporte...
Comme une nuit sans lune
Sur le haut de la dune
Enveloppant de brume
Les bateaux sans hune...
Comme une vallée rosie
par les rayons transis
Juste après la nuit
Dans le temps qui fuit...
Comme un coeur en amour
Errant sans retour
Entre jamais et toujours
Tout au long des jours...
La vie s'écoule, passent les heures
En larme, en attente, en souffrance,
En sourires, en peurs,
En émotions, en rire, en patience...!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
ÉMOTIONS
Vibrer comme la corde d'un violon
Sous la caresse de l'archet
Tendre et passionné...
Frémir comme la feuille du peuplier.
Dans le souffle du vent
D'un doux matin du printemps !
Vibrer comme les ailes d'une libellule
Voletant au crépuscule
Embaumé de l'été triomphant !
Trembler comme l'âme d'un violoncelle
Fragile comme la dentelle
Des atours d'une reine !
Vibrer comme le verre de cristal
Caressé par les douces lèvres
D'une femme au bord du rêve !
Tanguer comme le bateau ivre
Sur la plage à la dérive
Dans les bras du vent !
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Sous la caresse de l'archet
Tendre et passionné...
Frémir comme la feuille du peuplier.
Dans le souffle du vent
D'un doux matin du printemps !
Vibrer comme les ailes d'une libellule
Voletant au crépuscule
Embaumé de l'été triomphant !
Trembler comme l'âme d'un violoncelle
Fragile comme la dentelle
Des atours d'une reine !
Vibrer comme le verre de cristal
Caressé par les douces lèvres
D'une femme au bord du rêve !
Tanguer comme le bateau ivre
Sur la plage à la dérive
Dans les bras du vent !
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
LA PLAGE DES SOUVENIRS
Je me sens si seul sans toi!
Je pense à nous, toi et moi...
En écoutant la musique mourir
Sur la plage des souvenirs !
Tous les trésors de notre vie
Sont dans mes pensées enfouies...
À tout jamais, il faut partir,
Sans se retourner, sans se retenir !
Je suis triste et nostalgique...
Tes mots d'amour romantiques
Me reviennent à la mémoire...
J'ai encore besoin d'y croire !
Les larmes inondant mes yeux,
Mon coeur et mon ciel bleu...
Je ne pourrai pas t'oublier
Tu as le coeur de mes pensées !
J'écoute encore la musique
Des vagues mélancoliques,
Sur la plage des souvenirs
Où notre amour vient de finir !!!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Je pense à nous, toi et moi...
En écoutant la musique mourir
Sur la plage des souvenirs !
Tous les trésors de notre vie
Sont dans mes pensées enfouies...
À tout jamais, il faut partir,
Sans se retourner, sans se retenir !
Je suis triste et nostalgique...
Tes mots d'amour romantiques
Me reviennent à la mémoire...
J'ai encore besoin d'y croire !
Les larmes inondant mes yeux,
Mon coeur et mon ciel bleu...
Je ne pourrai pas t'oublier
Tu as le coeur de mes pensées !
J'écoute encore la musique
Des vagues mélancoliques,
Sur la plage des souvenirs
Où notre amour vient de finir !!!
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
COMMENT
Comment vous faire comprendre
Que cela importe peu...
Pourvu que je vois des arbres,
De la terre...et des fleurs pousser !!
Qu'importe les murs...
Pourvu que je vois les oiseaux,
Les feuilles... et la pluie tomber !!
Qu'importe les lieux...
Pourvu que je vois
Dans mon coeur, le ciel et ses couleurs !!
Qu'importe le temps...
Pourvu que je respire
La terre et ses senteurs !!
Qu'importe...!!!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Que cela importe peu...
Pourvu que je vois des arbres,
De la terre...et des fleurs pousser !!
Qu'importe les murs...
Pourvu que je vois les oiseaux,
Les feuilles... et la pluie tomber !!
Qu'importe les lieux...
Pourvu que je vois
Dans mon coeur, le ciel et ses couleurs !!
Qu'importe le temps...
Pourvu que je respire
La terre et ses senteurs !!
Qu'importe...!!!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
LE MANÈGE DE LA VIE
Il s'appelait...Dis-moi...????
C'était autrefois...
Il était mon ami !
Vous croyez que j'oublie ???
Non,une main tendue
Un beau soir d'hiver.
C'était le salut
Pour un coeur solitaire !!
Réchauffer comme un soleil,
Apporter des merveilles
Redonner envie,
Rendre le souri...
Pour quelques instants,
Arrêter le temps..
Et croire un moment
Qu'on vous aime tant...!
Et puis le manège de la vie
Sur le temps a pris
Le pas... et c'est ainsi
Que pour toi j'écris !!!
Ça ne l'oublie pas !
Ça ne s'invente pas !
Dis quand reviendras-tu ?
Dis, au moins le sais-tu ?
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
C'était autrefois...
Il était mon ami !
Vous croyez que j'oublie ???
Non,une main tendue
Un beau soir d'hiver.
C'était le salut
Pour un coeur solitaire !!
Réchauffer comme un soleil,
Apporter des merveilles
Redonner envie,
Rendre le souri...
Pour quelques instants,
Arrêter le temps..
Et croire un moment
Qu'on vous aime tant...!
Et puis le manège de la vie
Sur le temps a pris
Le pas... et c'est ainsi
Que pour toi j'écris !!!
Ça ne l'oublie pas !
Ça ne s'invente pas !
Dis quand reviendras-tu ?
Dis, au moins le sais-tu ?
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
COULEURS DU CRÉPUSCULE
DÉDICACÉ À COSMOS
Le soleil a implosé
Derrière des nuages gris roses
Comme un coeur en osmose...
Au-dessus des arbres, des forêts,
Inspirant la sérénité, la paix !
Le fleuve renvoie
L'écho de sa voix,
Comme des milliers de roses
Qui sur l'eau explosent !
Les cirrus, voiles mystères,
Filtrent vaporeux
Les rayons crépusculaires
De l'astre lumineux !
Les ombres lentement s'allongent...
Elles ouvrent la porte aux songes !
Et la nuit qui descend
Éteint le firmament !
Le fleuve,comme un plateau argenté,
Reflète les silhouettes dessinées,
Et renvoie au ciel d'étoiles illuminées,
Cette douce et blanche clarté !!!!!
AUTEURE: CATHI
Le soleil a implosé
Derrière des nuages gris roses
Comme un coeur en osmose...
Au-dessus des arbres, des forêts,
Inspirant la sérénité, la paix !
Le fleuve renvoie
L'écho de sa voix,
Comme des milliers de roses
Qui sur l'eau explosent !
Les cirrus, voiles mystères,
Filtrent vaporeux
Les rayons crépusculaires
De l'astre lumineux !
Les ombres lentement s'allongent...
Elles ouvrent la porte aux songes !
Et la nuit qui descend
Éteint le firmament !
Le fleuve,comme un plateau argenté,
Reflète les silhouettes dessinées,
Et renvoie au ciel d'étoiles illuminées,
Cette douce et blanche clarté !!!!!
AUTEURE: CATHI
ROUGE
Rouge, symbole de vie,
Couleur de feu et de sang,
Tu jettes ton éclat
Comme une irréductible puissance!
Rouge, mystère de la vie,
Tu entraînes et provoques,
Tu invites à la transgression.
De l'interdit des pulsions,
Des instincts passionnels !
Rouge sacré et secret,
Mystères des Ténèbres,
Couleur de l'âme,
Couleur de la science,
Couleur des Sages,
Tu es la conscience de la vie !
Mais tu répands la mort...
Rouge de l'ardeur et de la beauté,
De la jeunesse et de la santé,
Tu es la richesse d'Éros triomphant !
Rouge du printemps,
Couleur guerrière,
Tu es l'enjeu de bataille
Entre le ciel et l'enfer!
Rouge du pouvoir suprême,
Tu deviens dangereux !
Tu mènes à l'égoïsme, à la haine,
...à l'amour infernal !!!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Couleur de feu et de sang,
Tu jettes ton éclat
Comme une irréductible puissance!
Rouge, mystère de la vie,
Tu entraînes et provoques,
Tu invites à la transgression.
De l'interdit des pulsions,
Des instincts passionnels !
Rouge sacré et secret,
Mystères des Ténèbres,
Couleur de l'âme,
Couleur de la science,
Couleur des Sages,
Tu es la conscience de la vie !
Mais tu répands la mort...
Rouge de l'ardeur et de la beauté,
De la jeunesse et de la santé,
Tu es la richesse d'Éros triomphant !
Rouge du printemps,
Couleur guerrière,
Tu es l'enjeu de bataille
Entre le ciel et l'enfer!
Rouge du pouvoir suprême,
Tu deviens dangereux !
Tu mènes à l'égoïsme, à la haine,
...à l'amour infernal !!!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
CLAIR OBSCUR
Au-dessus des nuages flous,
Le soleil se lève à l'horizon !
Il a réveillé comme un fou,
Dans mon coeur, toutes les passions !
Un rayon lumineux éclaire mon ciel...
Mon âme est ombrageuse, sans soleil !
Je sens que tous les éléments m'appellent...
Mais je ne suis pas au pays des merveilles !
Je joue, sur le grand échiquier,
Je me sens comme tiraillée...
Je suis la lumière dans l'ombre,
La spirale du temps m'aspire,
Dans l'espace intersidéral...
De tout mon être j'expire,
Dans ce terrible duel infernal !
Je me sens en mutation
Dans cette perpétuelle révolution...
Le rythme du monde m'élève...
Est-ce une réalité ou un rêve ????
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Le soleil se lève à l'horizon !
Il a réveillé comme un fou,
Dans mon coeur, toutes les passions !
Un rayon lumineux éclaire mon ciel...
Mon âme est ombrageuse, sans soleil !
Je sens que tous les éléments m'appellent...
Mais je ne suis pas au pays des merveilles !
Je joue, sur le grand échiquier,
Je me sens comme tiraillée...
Je suis la lumière dans l'ombre,
La spirale du temps m'aspire,
Dans l'espace intersidéral...
De tout mon être j'expire,
Dans ce terrible duel infernal !
Je me sens en mutation
Dans cette perpétuelle révolution...
Le rythme du monde m'élève...
Est-ce une réalité ou un rêve ????
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
"CONCERTO"
Dans l'orchestre de la nature,
Un violon et un alto
Sonnent les accords du temps.
Leurs cordes se mêlent
Entrelaçant leurs accents !
Le violon fait sonner la chanterelle
Sans attendre le jeu de son ego...
Tandis qu'une violoncelle
Vient s'ajouter au concerto ...!!!!
Elles parcourent la campagne;
Ils papillonnent et glissent
Des iris au volubilis...
Ils escaladent des montagnes !
Se posant là sur le petit pont...
Puis soudain,rebondissant avec passion,
Ils s'envolent dans les airs
Zébrant l'azur comme un éclair !
L'escorte des notes dansent
Sur une portée,en livrée d'or!
Elles virevoltent en cadence.
De l'aube jusqu'au chant du cor !!
Puis quand sonne l'heure,
Les instruments se posent
Dans un dernier accord
Ivres d'amour, de liberté de choeur !!! Solveig
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Un violon et un alto
Sonnent les accords du temps.
Leurs cordes se mêlent
Entrelaçant leurs accents !
Le violon fait sonner la chanterelle
Sans attendre le jeu de son ego...
Tandis qu'une violoncelle
Vient s'ajouter au concerto ...!!!!
Elles parcourent la campagne;
Ils papillonnent et glissent
Des iris au volubilis...
Ils escaladent des montagnes !
Se posant là sur le petit pont...
Puis soudain,rebondissant avec passion,
Ils s'envolent dans les airs
Zébrant l'azur comme un éclair !
L'escorte des notes dansent
Sur une portée,en livrée d'or!
Elles virevoltent en cadence.
De l'aube jusqu'au chant du cor !!
Puis quand sonne l'heure,
Les instruments se posent
Dans un dernier accord
Ivres d'amour, de liberté de choeur !!! Solveig
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
ACTE DE FOI
Écoute la voix du ciel,
Elle vient à tire d'aile,
T'apporter un message;
Écoute-la en sage...
Ses accents, sa mélodie
Te parleront
De moi, de toi,de lui...!
J'aime et je suis
Quels que soient le cadre et la vie...
Ses paroles dans la détresse
Compensent le manque
D'amour et de tendresse!
On souffle, on se tait,
On tourne en ironie
Les souffrances de la vie.
Les ennuis, les blessures.
Les errances, la déchirure.
Les arrogances et les tortures !
J'aime et je suis
Quels que soient le cadre de la vie...
J'ai des sentiments
Au plus profond de moi!
Eux seuls transigent !
Je le sais...je le crois!
Mais je reste moi,
Je ne change pas!
Je pense que nos destinées
Sont déjà tracées ...!
Quelles que soient les circonstances
Je continuerai d'être
Ce que je suis!
C'est ma force, ma faiblesse et ma foi !!
C'est ce que je crois !!! Solveig
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Elle vient à tire d'aile,
T'apporter un message;
Écoute-la en sage...
Ses accents, sa mélodie
Te parleront
De moi, de toi,de lui...!
J'aime et je suis
Quels que soient le cadre et la vie...
Ses paroles dans la détresse
Compensent le manque
D'amour et de tendresse!
On souffle, on se tait,
On tourne en ironie
Les souffrances de la vie.
Les ennuis, les blessures.
Les errances, la déchirure.
Les arrogances et les tortures !
J'aime et je suis
Quels que soient le cadre de la vie...
J'ai des sentiments
Au plus profond de moi!
Eux seuls transigent !
Je le sais...je le crois!
Mais je reste moi,
Je ne change pas!
Je pense que nos destinées
Sont déjà tracées ...!
Quelles que soient les circonstances
Je continuerai d'être
Ce que je suis!
C'est ma force, ma faiblesse et ma foi !!
C'est ce que je crois !!! Solveig
- AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
PARFUM DE MON COEUR
La mort est une fleur
Qui parfume mon coeur.
Elle est le chemin inévitable
Vers la vie véritable!!
Elle est le site de passage
Qui libère l'âme en cage !
Elle est le stade inéluctable
Dans l'évolution des choses!
Elle est comme la rose,
Elle délivre un message
Dans l'esprit des Sages!
Elle est la fille de la Nuit
Et soeur du Sommeil!
Elle redonne la Vie
Et t'apporte des Merveilles!
Elle ouvre l'accès aux portes de l'Esprit!
La mort est une fleur
Qui parfume mon coeur !! Solveig
-Auteure: Solveigh ou Carhi
Qui parfume mon coeur.
Elle est le chemin inévitable
Vers la vie véritable!!
Elle est le site de passage
Qui libère l'âme en cage !
Elle est le stade inéluctable
Dans l'évolution des choses!
Elle est comme la rose,
Elle délivre un message
Dans l'esprit des Sages!
Elle est la fille de la Nuit
Et soeur du Sommeil!
Elle redonne la Vie
Et t'apporte des Merveilles!
Elle ouvre l'accès aux portes de l'Esprit!
La mort est une fleur
Qui parfume mon coeur !! Solveig
-Auteure: Solveigh ou Carhi
À L'OCCIDENT
À l'occident embrasé,
Le soleil décline, s'éteint, meurt...
Instants suspendus dans le temps,
Qui selon l'espace et l'heure,
Voient descendre lentement les ombres !
La nuit s'installe, c'est la pénombre!!
C'est la marche en avant,
Vers les futurs, les infinis....
À travers les mystérieuses ténèbres...
Pour atteindre une nouvelle aurore !
Beauté nostalgique
D'un déclin en couleur
Chaque soir différent...
Irisé d'or ou de diamants...
C'est un moment onirique...
Pour des amants idylliques
Sur la plage romantique!!!!!
-AUTEURE: SOLVEIG
Le soleil décline, s'éteint, meurt...
Instants suspendus dans le temps,
Qui selon l'espace et l'heure,
Voient descendre lentement les ombres !
La nuit s'installe, c'est la pénombre!!
C'est la marche en avant,
Vers les futurs, les infinis....
À travers les mystérieuses ténèbres...
Pour atteindre une nouvelle aurore !
Beauté nostalgique
D'un déclin en couleur
Chaque soir différent...
Irisé d'or ou de diamants...
C'est un moment onirique...
Pour des amants idylliques
Sur la plage romantique!!!!!
-AUTEURE: SOLVEIG
MON ANGE
Tu es parti un jour
Je ne t'ai jamais revu !
Tu es parti pour toujours
Bien au-delà des nues !
Mon ange, en rêve je t'ai vu
Avec ton sourire étincelant
Et ton air doux et ingénu,
Tu venais m'embrasser tendrement !
Tu étais tout simplement de passage
Au doux château de mon triste coeur...
C'est vraiment un si long voyage
Pour atteindre le bonheur ?
Tu m'as dit que j'étais belle,
Que mon âme était merveille !
Tu as mis des étincelles
Dans mes yeux éblouis de soleil !
De ton doigt, tu m'as montré les cieux...
J'ai ressenti tes tendres adieux...
Et dans le petit matin brumeux,
J'ai compris que tu étais heureux..!!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Je ne t'ai jamais revu !
Tu es parti pour toujours
Bien au-delà des nues !
Mon ange, en rêve je t'ai vu
Avec ton sourire étincelant
Et ton air doux et ingénu,
Tu venais m'embrasser tendrement !
Tu étais tout simplement de passage
Au doux château de mon triste coeur...
C'est vraiment un si long voyage
Pour atteindre le bonheur ?
Tu m'as dit que j'étais belle,
Que mon âme était merveille !
Tu as mis des étincelles
Dans mes yeux éblouis de soleil !
De ton doigt, tu m'as montré les cieux...
J'ai ressenti tes tendres adieux...
Et dans le petit matin brumeux,
J'ai compris que tu étais heureux..!!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
LES DÉMONS
Les démons de minuit
Ont peuplé mes rêveries...
Sans un mot, sans un bruit,
Le diable a envahit ma nuit !!
Sur les ruines d'un vieux château,
Tournoyaient d'étranges animaux !
Mon dieu, je ne suis pas une fée...
Je vous en prie...venez me protéger !!!
Ils tourbillonnent dans le ciel,
Se rapprochent, m'ensorcèlent...!
J'ai peur...Fascinée je crie...
Je tremble mais je m'enfuis !!
Sur le sentier ils me poursuivent,
Il n'y a âme qui vive !!
Je trébuche....Je tombe...Je pleure..!
Non, non, non !!!..
Vous n'aurez pas mon coeur !!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Ont peuplé mes rêveries...
Sans un mot, sans un bruit,
Le diable a envahit ma nuit !!
Sur les ruines d'un vieux château,
Tournoyaient d'étranges animaux !
Mon dieu, je ne suis pas une fée...
Je vous en prie...venez me protéger !!!
Ils tourbillonnent dans le ciel,
Se rapprochent, m'ensorcèlent...!
J'ai peur...Fascinée je crie...
Je tremble mais je m'enfuis !!
Sur le sentier ils me poursuivent,
Il n'y a âme qui vive !!
Je trébuche....Je tombe...Je pleure..!
Non, non, non !!!..
Vous n'aurez pas mon coeur !!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
Ô, RESTE
ô, reste près de moi
Puisque je t'aime tellement !
Moi seule sais écouter
Tes nostalgies, désirs ardents;
Dans l'obscurité de mes ombres
À un prince je te compare,
Qui regarde au tréfonds des eaux
Avec des yeux sages et noirs:
Et par les vagues qui mugissent,
Par les ondes de l'herbe entière
Je te fais entendre en secret
La marche des troupeaux de cerfs;
Je te vois ravi par le charme
Murmurer de ta douce voix,
Pendant que tu tends le pied nu
Dans l'eau limpide au pur éclat
Et regardant sous le clair de lune
Vers le lac aux ardents rayons
Tes années semblent des instants
Les instants, siècles sembleront.
Ainsi dit la calme forêt,
Ses voûtes sur moi balançant;
Moi, je sifflais à son appel
Et je sortis au champs en riant.
Aujourd'hui si j'y revenais
Je ne la comprendrais plus guère...
Ah,mais où es-tu mon enfance,
Avec ta forêt mystère ?
- POÉSIE PAR: MIHAI EMINESCU
Puisque je t'aime tellement !
Moi seule sais écouter
Tes nostalgies, désirs ardents;
Dans l'obscurité de mes ombres
À un prince je te compare,
Qui regarde au tréfonds des eaux
Avec des yeux sages et noirs:
Et par les vagues qui mugissent,
Par les ondes de l'herbe entière
Je te fais entendre en secret
La marche des troupeaux de cerfs;
Je te vois ravi par le charme
Murmurer de ta douce voix,
Pendant que tu tends le pied nu
Dans l'eau limpide au pur éclat
Et regardant sous le clair de lune
Vers le lac aux ardents rayons
Tes années semblent des instants
Les instants, siècles sembleront.
Ainsi dit la calme forêt,
Ses voûtes sur moi balançant;
Moi, je sifflais à son appel
Et je sortis au champs en riant.
Aujourd'hui si j'y revenais
Je ne la comprendrais plus guère...
Ah,mais où es-tu mon enfance,
Avec ta forêt mystère ?
- POÉSIE PAR: MIHAI EMINESCU
EXTASE
Une sensation de bonheur intense
Envahit son corps en transe,
Une joie presque indicible
Comble son coeur sensible !
Elle s'évade du monde rituel...
L'espace et le temps s'effacent
Et deviennent irréels...!
Elle franchit le tain et la glace...
Elle glisse vers des rives inconnues
Son âme communie dans les nues...!
Tout devient lumière,
Infinies sensations
Douces contemplations
Communion avec la terre !
Elle pénètre dans l'Univers
Invisible et cosmique!
Là où tout commence
Là où tout finit
Là où tout se lie
Le néant et la vie !!!
-AUTEURE: SOLVEIG
Envahit son corps en transe,
Une joie presque indicible
Comble son coeur sensible !
Elle s'évade du monde rituel...
L'espace et le temps s'effacent
Et deviennent irréels...!
Elle franchit le tain et la glace...
Elle glisse vers des rives inconnues
Son âme communie dans les nues...!
Tout devient lumière,
Infinies sensations
Douces contemplations
Communion avec la terre !
Elle pénètre dans l'Univers
Invisible et cosmique!
Là où tout commence
Là où tout finit
Là où tout se lie
Le néant et la vie !!!
-AUTEURE: SOLVEIG
ÉCRIRE POUR PASSER LE TEMPS
Écrire pour exprimer tous ses sentiments
Écrire pour rester vivant
Pour exister de temps en temps
Écrire pour faire sortir sa colère
Se raconter sur une feuille en griffonnant
Exulter sa souffrance rageusement
Par des écrits au venin brûlant
Graver comme dans sa chair
Des mots souvent teints de violence
Avec une plume de pierre
Et des larmes au goût de sang
Écris pour ne pas s'ouvrir les veines
Écris pour éviter les souffrances vaines
Écris pour retrouver le sourire
Écris juste pour le plaisir
-AUTEUR: PRISSOO
Écrire pour rester vivant
Pour exister de temps en temps
Écrire pour faire sortir sa colère
Se raconter sur une feuille en griffonnant
Exulter sa souffrance rageusement
Par des écrits au venin brûlant
Graver comme dans sa chair
Des mots souvent teints de violence
Avec une plume de pierre
Et des larmes au goût de sang
Écris pour ne pas s'ouvrir les veines
Écris pour éviter les souffrances vaines
Écris pour retrouver le sourire
Écris juste pour le plaisir
-AUTEUR: PRISSOO
CHACUN DE NOUS A UN ANGE
Chacun de nous a un ange,
Chacun de nous a une étoile,
Pour le guider à travers les dédales
De ce monde si vaste et étrange
Chacun de nous a besoin
Quand les nuits sont longues et froides
Quand la vie est triste et maussade
Quand les bouteilles ne font plus rien
Quand les fleurs ont perdu leur parfum
Et qu'il est pris de désespoir
De sentir, même sans le voir
Son ange lui tenir la main
Chacun de nous a besoin
D'avoir un confident
Pour lui parler des tourments
Que lui fait subir le destin
Chacun de nous a besoin
D'avoir un ami
Qui restera près de lui
Quand les autres sont déjà loin
Chacun de nous éprouve le désir
Quand il a perdu confiance
Qu'il est perdu dans ce monde
D'entendre une voix lui dire
Que malgré tout, la vie est belle
Que demain il fera beau
Que chanteront les oiseaux
Et voleront les hirondelles
Il ouvrira alors les yeux
Lèvera la tête vers les cieux
Et verra au-delà des étoiles
qui scintillent
Son ange qui lui sourit.
-AUTEURE: CHRISTIANE
Chacun de nous a une étoile,
Pour le guider à travers les dédales
De ce monde si vaste et étrange
Chacun de nous a besoin
Quand les nuits sont longues et froides
Quand la vie est triste et maussade
Quand les bouteilles ne font plus rien
Quand les fleurs ont perdu leur parfum
Et qu'il est pris de désespoir
De sentir, même sans le voir
Son ange lui tenir la main
Chacun de nous a besoin
D'avoir un confident
Pour lui parler des tourments
Que lui fait subir le destin
Chacun de nous a besoin
D'avoir un ami
Qui restera près de lui
Quand les autres sont déjà loin
Chacun de nous éprouve le désir
Quand il a perdu confiance
Qu'il est perdu dans ce monde
D'entendre une voix lui dire
Que malgré tout, la vie est belle
Que demain il fera beau
Que chanteront les oiseaux
Et voleront les hirondelles
Il ouvrira alors les yeux
Lèvera la tête vers les cieux
Et verra au-delà des étoiles
qui scintillent
Son ange qui lui sourit.
-AUTEURE: CHRISTIANE
Poser...
Poser
des com
en toute complicité
pour jalonner
de passagères
"amitiés"
Poser
des mots
parfois des tempêtes
pour crier
les débords de colère
matins après matins...
Poser
à genoux ses prières
quand on ne peut se taire
et qu'il faut se confier
nos espoirs
à une statue de pierre...
Poser
une pierre après l'autre
pour combler les ornières
en dallant un chemin
qu'on croit partager,
vers d'heureux lendemains..
Poser
en terre
un peu de poussière
et des graines d'amour
pour qu'elles y germent
et un jour deviennent
Fleurs...
Poser
des fleurs douces et fragiles
sur sa fenêtre ouverte
pour espérer
les voir refleurir
et que leurs vies soient sans épines...
Poser
ma tête sur son épaule
et rester au creux
de ce qui reste,
de la force de ses bras...
ET OUBLIER
toutes mes guerres
et mes ressentiments
pour cet instant si fugace
de tendresse...
-POÈME PUBLIÉ 01 NOVEMBRE 2010
-AUTEUR: MESSOUDA
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
des com
en toute complicité
pour jalonner
de passagères
"amitiés"
Poser
des mots
parfois des tempêtes
pour crier
les débords de colère
matins après matins...
Poser
à genoux ses prières
quand on ne peut se taire
et qu'il faut se confier
nos espoirs
à une statue de pierre...
Poser
une pierre après l'autre
pour combler les ornières
en dallant un chemin
qu'on croit partager,
vers d'heureux lendemains..
Poser
en terre
un peu de poussière
et des graines d'amour
pour qu'elles y germent
et un jour deviennent
Fleurs...
Poser
des fleurs douces et fragiles
sur sa fenêtre ouverte
pour espérer
les voir refleurir
et que leurs vies soient sans épines...
Poser
ma tête sur son épaule
et rester au creux
de ce qui reste,
de la force de ses bras...
ET OUBLIER
toutes mes guerres
et mes ressentiments
pour cet instant si fugace
de tendresse...
-POÈME PUBLIÉ 01 NOVEMBRE 2010
-AUTEUR: MESSOUDA
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
DOUCEUR SUR MA VIE
Tendresse infinie...
Rêves oubliés..
Minuit sur ma vie...
Regrets du passé...
Sourires en sursis..
-DOUCEUR SUR MA VIE ...
Silence d'un souvenir..
Tant de rêves à finir...
Tendresse retrouvée...
Amour égaré..
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Ma vision de toi...
Le souvenir de tes bras...
Une nuit presque oubliée...
Dis-moi...
Au-delà de cet océan...
Qui étais-tu vraiment...
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Blessures sur mon coeur...
Nuits esseulées et pardonnées...
Les yeux fermés au bonheur...
Souvenir de nous au passé...
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Tendresse blessée...
Sourire retrouvé...
Chemin sans retour...
Assaisonnés sans amour...
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Regrets infinis...
De t'avoir aimé...
Je suis en sursis...
Puisque sans remords...
Tu m'as tuée !
Souffrance sur ma vie...
Qui n'auraient jamais dû exister...
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE 20/08/04
-TOUS DROITS RÉSERVÉS -
Rêves oubliés..
Minuit sur ma vie...
Regrets du passé...
Sourires en sursis..
-DOUCEUR SUR MA VIE ...
Silence d'un souvenir..
Tant de rêves à finir...
Tendresse retrouvée...
Amour égaré..
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Ma vision de toi...
Le souvenir de tes bras...
Une nuit presque oubliée...
Dis-moi...
Au-delà de cet océan...
Qui étais-tu vraiment...
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Blessures sur mon coeur...
Nuits esseulées et pardonnées...
Les yeux fermés au bonheur...
Souvenir de nous au passé...
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Tendresse blessée...
Sourire retrouvé...
Chemin sans retour...
Assaisonnés sans amour...
-DOUCEUR SUR MA VIE...
Regrets infinis...
De t'avoir aimé...
Je suis en sursis...
Puisque sans remords...
Tu m'as tuée !
Souffrance sur ma vie...
Qui n'auraient jamais dû exister...
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE 20/08/04
-TOUS DROITS RÉSERVÉS -
SOUPIR D'ENFANT
Douce caresse sur ma vie
Petit ange si fragile
Quand tu fermes les yeux dans mes bras
Et que tendrement
Je te sens dormir près de mon coeur
Petit ange si fragile
C'est de l'amour infini
Pour l'âme d'une mamie
SOUPIR D'UN ENFANT...
Quand je te vois sourire en dormant
C'est comme si tu déposais devant moi
Et en une seule seconde
Tout l'amour du monde
Petit ange si fragile
Tu m'as fait cadeau
D'aller au-delà de mes rêves
Même les plus inaccessibles
Tu as touché ma vie petit ange
Et comblé mon coeur de mamie
SOUPIR D'ENFANT...
Quand tu pleures
Mon univers devient triste
Et pour te consoler
Je te murmure la chanson
Du petit oiseau blanc
Qui avait perdu sa maman
Mais qui l'a retrouvé devenu grand
Voilà...petit ange...
Je t'ai raconté un petit bout de ma vie
En quelques lignes de poésie
-SOUPIR DE MAMIE...
J'ai écrit ce petit mensonge
Avec tout l'amour d'un coeur de Mamie
Pour mes trois merveilleux petits anges à moi
Ma petite princesse Tanya
Mon petit champion Remi...caramel
Et mon petit bouton de rose Laurence
Vous êtes ce que j'ai de plus précieux au monde...
Mamie Claire xxx
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE 14/08/04-
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
Petit ange si fragile
Quand tu fermes les yeux dans mes bras
Et que tendrement
Je te sens dormir près de mon coeur
Petit ange si fragile
C'est de l'amour infini
Pour l'âme d'une mamie
SOUPIR D'UN ENFANT...
Quand je te vois sourire en dormant
C'est comme si tu déposais devant moi
Et en une seule seconde
Tout l'amour du monde
Petit ange si fragile
Tu m'as fait cadeau
D'aller au-delà de mes rêves
Même les plus inaccessibles
Tu as touché ma vie petit ange
Et comblé mon coeur de mamie
SOUPIR D'ENFANT...
Quand tu pleures
Mon univers devient triste
Et pour te consoler
Je te murmure la chanson
Du petit oiseau blanc
Qui avait perdu sa maman
Mais qui l'a retrouvé devenu grand
Voilà...petit ange...
Je t'ai raconté un petit bout de ma vie
En quelques lignes de poésie
-SOUPIR DE MAMIE...
J'ai écrit ce petit mensonge
Avec tout l'amour d'un coeur de Mamie
Pour mes trois merveilleux petits anges à moi
Ma petite princesse Tanya
Mon petit champion Remi...caramel
Et mon petit bouton de rose Laurence
Vous êtes ce que j'ai de plus précieux au monde...
Mamie Claire xxx
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE 14/08/04-
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
SI MA VIE M'ÉTAIT REDONNÉE
Si par magie...cette nuit..
Mes vingts ans m'étaient remis...
Si mon âme fragile et brisée...
S'envolait vers le passé...
Pour me bercer...
En des temps plus heureux...
À 20 ans
Mes yeux...
Te verraient bien différemment...
Avec ce que j'ai connu de toi aujourd'hui...
Je ne t'aimerais...
peut-être pas autant...
Je ne te laisserais pas...
Toucher à ma vie...
Je croirais d'abord en moi...
Je me ferais confiance...
Afin de mieux me protéger...
De cette souffrance...
Qui m'est venue de toi...
Oui, je t'ai aimé avec passion...
Jusqu'au jour où, cruellement...
Sans pitié tu m'as trahie...
OUI
Je t'en ai voulu...
D'avoir écorché ma vie...
Et celle de tes enfants aussi...
Avec les années heureusement...
Je t'ai pardonné...
Et, je garde de bons souvenirs de toi...
Je n'aurais pas été ton ennemie...
Mais, pardonne-moi...
Si j'avais bien réfléchi...
Tu n'aurais jamais...
fait partie de ma vie...
La plus belle chose que je garde de toi...
Ce sont mes enfants...
Ils sont ce que j'ai de plus précieux...
Même si aujourd'hui...
J'ai oublié...
Jusqu'à la couleur de tes yeux...
Je te dis quand même merci...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Qu'une femme ne doit jamais...
Être trompée et trahie...
Si par magie cette nuit...
Mes trente ans m'étaient remis...
Peut-être que j'aurais le privilège...
De changer ma vie...
Où simplement mes rêves...
À 30 ANS
Je n'étais déjà plus une petite fille...
Mais encore tellement fragile...
Des cicatrices coulaient toujours en moi...
Tu étais...
Comme une bonne source d'eau fraîche...
Et j'avais tellement soif de rêves...
Ce que j'aimais en toi...
C'était ce que j'ai détesté en lui...
Alors très vite j'ai compris...
Que pour ne pas te haïr...
Il valait mieux partir...
Je te dis quand même merci...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Que pour les larmes...
Qu'un femme a versée...
Sont autant d'étoiles...
Dans son éternité...
Si par magie cette nuit...
Mes quarante ans m'étaient remis...
Je poserais un regard sur ma vie...
Peut-être qu'elle ne m'appartient plus...
Peut-être que je me suis perdue...
À 40 ANS
Mon dieu quel tourment...
Je ne me reconnais plus...
C'est incroyable...
Tout ce temps que j'ai perdu...
Tout ce mal de vivre...
Que je n'ai jamais vaincu...
Je blesse, je détruis, je me tue...
Je ne peux pas toujours rester ivre...
J'en ai assez de ce mal de vivre...
Je ne garde vraiment rien de toi...
Qu'un triste souvenir...
Et peu importe...
Ce qui arrivera désormais dans ma vie...
Je ne veux plus jamais...
Que la boisson en fasse partie...
Je te dis quand même merci...
Toi qui fus mon plus grand ennemi...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Qu'une femme est toujours une femme...
Quelles que soient les armes...
Que tu diriges vers elle...
Que tu blesses son corps ou son âme...
Tu seras toujours coupable de ses larmes...
Si par magie cette nuit...
Mes cinquante ans m'étaient remis...
Ce serait le plus beau cadeau...
De toute ma vie...
Parce que c'est là...
Que j'ai le plus appris...
À 50 ANS
Je me suis posée une seule question...
S'il m'était donné le droit...
De pouvoir passer une heure...
En tête à tête seule...
Avec la personne de mon choix...
Je me choisirais...
Pour mieux me connaître...
Mieux me comprendre...
Et me pardonner...
D'avoir trop aimé...
Ou trop rêvé dans ma vie...
Je te dis quand même merci...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Que la douceur et la tendresse...
Font naître...
Les plus profonds sentiments...
Qu'un rêve merveilleux...
Peut parfois devenir réalité..
OUI
Je sais maintenant...
Qu'on ne doit jamais rien regretter...
Que ce n'est jamais un péché
Que d'avoir aimé..
Mais quand je t'ai vu partir...
Là, j'ai bien compris...
Que tu serais toujours...
Mon plus merveilleux souvenir...
OUI
Je sais maintenant...
Que toi...
Je t'ai aimé infiniment...
Je t'ai aimé à taille d'océan...
Je t'ai aimé au bout de mon sang...
J'ai voulu en mourir...
Lorsque dans les nuages...
Est disparu ton souvenir
OUI
Je sais maintenant...
Qu'il est beaucoup mieux...
De rêver sa vie...
Parce que vivre ses rêves...
C'est éphémère et ça détruit...
Et ça m'a laissé un goût amer...
De mon amour pour lui...
Oui, maintenant j'ai compris...
Que tu seras toujours...
Mon plus beau rêve...
Peu importe...
Le chemin que tu as choisi...
Que je suis une femme fragile...
Mais libre de m'envoler...
Et que de t'avoir aimé...
N'aura pas été...
Mon seul chagrin...
04/06/04
- AUTEURE:CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
- Tous Droits Réservés _
Mes vingts ans m'étaient remis...
Si mon âme fragile et brisée...
S'envolait vers le passé...
Pour me bercer...
En des temps plus heureux...
À 20 ans
Mes yeux...
Te verraient bien différemment...
Avec ce que j'ai connu de toi aujourd'hui...
Je ne t'aimerais...
peut-être pas autant...
Je ne te laisserais pas...
Toucher à ma vie...
Je croirais d'abord en moi...
Je me ferais confiance...
Afin de mieux me protéger...
De cette souffrance...
Qui m'est venue de toi...
Oui, je t'ai aimé avec passion...
Jusqu'au jour où, cruellement...
Sans pitié tu m'as trahie...
OUI
Je t'en ai voulu...
D'avoir écorché ma vie...
Et celle de tes enfants aussi...
Avec les années heureusement...
Je t'ai pardonné...
Et, je garde de bons souvenirs de toi...
Je n'aurais pas été ton ennemie...
Mais, pardonne-moi...
Si j'avais bien réfléchi...
Tu n'aurais jamais...
fait partie de ma vie...
La plus belle chose que je garde de toi...
Ce sont mes enfants...
Ils sont ce que j'ai de plus précieux...
Même si aujourd'hui...
J'ai oublié...
Jusqu'à la couleur de tes yeux...
Je te dis quand même merci...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Qu'une femme ne doit jamais...
Être trompée et trahie...
Si par magie cette nuit...
Mes trente ans m'étaient remis...
Peut-être que j'aurais le privilège...
De changer ma vie...
Où simplement mes rêves...
À 30 ANS
Je n'étais déjà plus une petite fille...
Mais encore tellement fragile...
Des cicatrices coulaient toujours en moi...
Tu étais...
Comme une bonne source d'eau fraîche...
Et j'avais tellement soif de rêves...
Ce que j'aimais en toi...
C'était ce que j'ai détesté en lui...
Alors très vite j'ai compris...
Que pour ne pas te haïr...
Il valait mieux partir...
Je te dis quand même merci...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Que pour les larmes...
Qu'un femme a versée...
Sont autant d'étoiles...
Dans son éternité...
Si par magie cette nuit...
Mes quarante ans m'étaient remis...
Je poserais un regard sur ma vie...
Peut-être qu'elle ne m'appartient plus...
Peut-être que je me suis perdue...
À 40 ANS
Mon dieu quel tourment...
Je ne me reconnais plus...
C'est incroyable...
Tout ce temps que j'ai perdu...
Tout ce mal de vivre...
Que je n'ai jamais vaincu...
Je blesse, je détruis, je me tue...
Je ne peux pas toujours rester ivre...
J'en ai assez de ce mal de vivre...
Je ne garde vraiment rien de toi...
Qu'un triste souvenir...
Et peu importe...
Ce qui arrivera désormais dans ma vie...
Je ne veux plus jamais...
Que la boisson en fasse partie...
Je te dis quand même merci...
Toi qui fus mon plus grand ennemi...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Qu'une femme est toujours une femme...
Quelles que soient les armes...
Que tu diriges vers elle...
Que tu blesses son corps ou son âme...
Tu seras toujours coupable de ses larmes...
Si par magie cette nuit...
Mes cinquante ans m'étaient remis...
Ce serait le plus beau cadeau...
De toute ma vie...
Parce que c'est là...
Que j'ai le plus appris...
À 50 ANS
Je me suis posée une seule question...
S'il m'était donné le droit...
De pouvoir passer une heure...
En tête à tête seule...
Avec la personne de mon choix...
Je me choisirais...
Pour mieux me connaître...
Mieux me comprendre...
Et me pardonner...
D'avoir trop aimé...
Ou trop rêvé dans ma vie...
Je te dis quand même merci...
De toi j'ai beaucoup appris...
Je sais maintenant...
Que la douceur et la tendresse...
Font naître...
Les plus profonds sentiments...
Qu'un rêve merveilleux...
Peut parfois devenir réalité..
OUI
Je sais maintenant...
Qu'on ne doit jamais rien regretter...
Que ce n'est jamais un péché
Que d'avoir aimé..
Mais quand je t'ai vu partir...
Là, j'ai bien compris...
Que tu serais toujours...
Mon plus merveilleux souvenir...
OUI
Je sais maintenant...
Que toi...
Je t'ai aimé infiniment...
Je t'ai aimé à taille d'océan...
Je t'ai aimé au bout de mon sang...
J'ai voulu en mourir...
Lorsque dans les nuages...
Est disparu ton souvenir
OUI
Je sais maintenant...
Qu'il est beaucoup mieux...
De rêver sa vie...
Parce que vivre ses rêves...
C'est éphémère et ça détruit...
Et ça m'a laissé un goût amer...
De mon amour pour lui...
Oui, maintenant j'ai compris...
Que tu seras toujours...
Mon plus beau rêve...
Peu importe...
Le chemin que tu as choisi...
Que je suis une femme fragile...
Mais libre de m'envoler...
Et que de t'avoir aimé...
N'aura pas été...
Mon seul chagrin...
04/06/04
- AUTEURE:CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
- Tous Droits Réservés _
PETITE FUTURE MAMAN
Comme le temps passe rapidement
hier tu n'étais qu'une enfant...
et aujourd'hui tu deviens une maman.
Pourtant, c'est bien frais dans ma mémoire, je me rappelle très bien de ton premier sourire...
et le soir, où tu m,as dit MAMAN, la première fois,
-Comme le temps passe rapidement...
hier tu n'étais qu'une enfant...
Tu étais une petite fille merveilleuse,
douce, câline et gentille...
et tu as toujours su, me rendre heureuse...
Ta grande douceur et ta féminité, m'ont vite fait penser, que tu deviendrais même un jour ma petite coiffeuse.
Comme le temps passe rapidement...
hier tu n'étais qu'une enfant...
et ton premier chagrin d'amour,
t'en souviens-tu ?
Jamais à ce moment là tu n'aurais cru...
qu'il deviendrait ton grand amour,
et même encore, qu'il serait le père de ton enfant...
Comme le temps passe rapidement...
hier, tu n'étais qu'une enfant...
Et aujourd'hui tu deviendras une maman...
Petite Manon, petite chérie,
je serai toujours fière de toi,
par ta maturité, tu as su construire un bel avenir...
et maintenant tu es à construire une vie.
Comme le temps passe rapidement...
hier tu n'étais qu'une enfant...
et moi pas encore une grand-maman.
Spécialement pour toi Manon,
avec tout mon amour et ma fierté...
Ta mère qui t'aime xxx
- AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
- Tous Droits Réservés _
hier tu n'étais qu'une enfant...
et aujourd'hui tu deviens une maman.
Pourtant, c'est bien frais dans ma mémoire, je me rappelle très bien de ton premier sourire...
et le soir, où tu m,as dit MAMAN, la première fois,
-Comme le temps passe rapidement...
hier tu n'étais qu'une enfant...
Tu étais une petite fille merveilleuse,
douce, câline et gentille...
et tu as toujours su, me rendre heureuse...
Ta grande douceur et ta féminité, m'ont vite fait penser, que tu deviendrais même un jour ma petite coiffeuse.
Comme le temps passe rapidement...
hier tu n'étais qu'une enfant...
et ton premier chagrin d'amour,
t'en souviens-tu ?
Jamais à ce moment là tu n'aurais cru...
qu'il deviendrait ton grand amour,
et même encore, qu'il serait le père de ton enfant...
Comme le temps passe rapidement...
hier, tu n'étais qu'une enfant...
Et aujourd'hui tu deviendras une maman...
Petite Manon, petite chérie,
je serai toujours fière de toi,
par ta maturité, tu as su construire un bel avenir...
et maintenant tu es à construire une vie.
Comme le temps passe rapidement...
hier tu n'étais qu'une enfant...
et moi pas encore une grand-maman.
Spécialement pour toi Manon,
avec tout mon amour et ma fierté...
Ta mère qui t'aime xxx
- AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
- Tous Droits Réservés _
MAMAN LE SAVAIS-TU
Je t'en prie pour une seule fois, écoute-moi...
ce soir, j'ai le goût de parler avec toi...
j'ai plein de choses à te raconter sur moi...
ça me ferait du bien de me sentir aimée,
s'il te plaît, pour une seule fois, veux-tu
m'écouter...
Depuis longtemps déjà, que j'essaie de me rapprocher...
j'aurais tellement aimé, que tu puisses être fière de moi...
Hélas, j'ai cessé d'espérer...
Dans ton coeur, il n'y avait pas de place pour moi...
Dis, maman, est-ce que tu le savais ?
J'ai dû traverser beaucoup d'épreuves dans ma vie,
et au fond de moi, je n'ai jamais senti ton appui...
parfois, ça m'aurait fait du bien, que tu sois là...
J'ai même déjà rêvé, que tu me prenais dans tes bras...
pour que je puisse enfin me reposer sur toi.
Dis maman est-ce que tu le savais ?
Je suis rendue à cinquante ans maintenant,
et bien malgré moi, dans mon coeur,
il y aura toujours ce vide de toi...
Si tu savais, comme je me sens fragile...
et pourtant, je suis une grande fille maintenant...
Toi qui un jour m'a donné la vie,
par amour ou par raison...
dis-moi maman, aurait-il fallu, que je sois un garçon...?
Il y a des choses qui sont difficiles à ignorer...
mais jamais, comme l'est notre propre conscience...
Il faut apprendre à écouter, pour espérer comprendre...
Tout peut naître de l'amour même la haine...
Mais l'amour lui, ne trahit jamais...
il pardonne toujours, et c'est pour cette raison,
que je te pardonne maman..
et même si c'est difficile pour moi ce soir...
j'ai quand même le goût de te dire...
Je t'aime maman...xxx
Ta fille xxxxx
AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
-TOUS DROITS RÉSERVÉS _
ce soir, j'ai le goût de parler avec toi...
j'ai plein de choses à te raconter sur moi...
ça me ferait du bien de me sentir aimée,
s'il te plaît, pour une seule fois, veux-tu
m'écouter...
Depuis longtemps déjà, que j'essaie de me rapprocher...
j'aurais tellement aimé, que tu puisses être fière de moi...
Hélas, j'ai cessé d'espérer...
Dans ton coeur, il n'y avait pas de place pour moi...
Dis, maman, est-ce que tu le savais ?
J'ai dû traverser beaucoup d'épreuves dans ma vie,
et au fond de moi, je n'ai jamais senti ton appui...
parfois, ça m'aurait fait du bien, que tu sois là...
J'ai même déjà rêvé, que tu me prenais dans tes bras...
pour que je puisse enfin me reposer sur toi.
Dis maman est-ce que tu le savais ?
Je suis rendue à cinquante ans maintenant,
et bien malgré moi, dans mon coeur,
il y aura toujours ce vide de toi...
Si tu savais, comme je me sens fragile...
et pourtant, je suis une grande fille maintenant...
Toi qui un jour m'a donné la vie,
par amour ou par raison...
dis-moi maman, aurait-il fallu, que je sois un garçon...?
Il y a des choses qui sont difficiles à ignorer...
mais jamais, comme l'est notre propre conscience...
Il faut apprendre à écouter, pour espérer comprendre...
Tout peut naître de l'amour même la haine...
Mais l'amour lui, ne trahit jamais...
il pardonne toujours, et c'est pour cette raison,
que je te pardonne maman..
et même si c'est difficile pour moi ce soir...
j'ai quand même le goût de te dire...
Je t'aime maman...xxx
Ta fille xxxxx
AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
-TOUS DROITS RÉSERVÉS _
CETTE NUIT J'AI RÊVÉ
Dans le silence d'une nuit étoilée...
J'ai vu sourire des milliers d' enfants émerveillés...
Dans leur coeur n'habitait plus la peur...
Et dans ce monde merveilleux ...
Même la couleur de leur peau...
Se confondait avec celle de leur coeur...
Le Racisme N' existait plus
Oui, cette nuit j'ai rêvé...
J' ai vu un monde sans souffrance...
Où la maladie était inexistante...
Plus jamais de larmes dans les yeux...
Plus jamais obligé de dire adieu...
***LIBERTÉ ET AMOUR***
Enveloppaient Alors Toute La Terre "
CLAIRE..
AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
J'ai vu sourire des milliers d' enfants émerveillés...
Dans leur coeur n'habitait plus la peur...
Et dans ce monde merveilleux ...
Même la couleur de leur peau...
Se confondait avec celle de leur coeur...
Le Racisme N' existait plus
Oui, cette nuit j'ai rêvé...
J' ai vu un monde sans souffrance...
Où la maladie était inexistante...
Plus jamais de larmes dans les yeux...
Plus jamais obligé de dire adieu...
***LIBERTÉ ET AMOUR***
Enveloppaient Alors Toute La Terre "
CLAIRE..
AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
LES AMBITIONS
Les ambitions sont des rêves et des voeux,
que l'on n'atteint pas aisément.
Il faut travailler dur pour les réaliser.
Sans jamais savoir quand ni où le but sera atteint.
Persévérez...N'abandonnez pas...
Et surtout
N'arrêtez jamais de croire en vous-même.
Car en vous se cache quelqu'un de spécial,
Quelqu'un de merveilleux
Qui a droit au succès
Quel que soit votre but
tout ce qui est important pour vous et qui vous rend heureux.
Vous avez droit au succès.
- AUTEURE: ROSEMARY DE PAOLIS
- DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉ -
que l'on n'atteint pas aisément.
Il faut travailler dur pour les réaliser.
Sans jamais savoir quand ni où le but sera atteint.
Persévérez...N'abandonnez pas...
Et surtout
N'arrêtez jamais de croire en vous-même.
Car en vous se cache quelqu'un de spécial,
Quelqu'un de merveilleux
Qui a droit au succès
Quel que soit votre but
tout ce qui est important pour vous et qui vous rend heureux.
Vous avez droit au succès.
- AUTEURE: ROSEMARY DE PAOLIS
- DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉ -
JE PEUX
Si tu te crois battu, tu le seras ;
Si tu n'oses pas, tu n'auras rien ;
Si tu veux gagner, mais si tu t'en crois incapable,
Il est presque certain que tu ne gagneras pas.
Si tu crois que tu vas perdre, tu as perdu,
Car dans le monde, on se rend compte que le succès, dépend de la confiance en toi ;
Tout dépend de notre état d'esprit.
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts ni les plus rapides,
mais par ceux qui croient en eux...
et pensent toujours: " Je Peux "
-AUTEUR INCONNU
Si tu n'oses pas, tu n'auras rien ;
Si tu veux gagner, mais si tu t'en crois incapable,
Il est presque certain que tu ne gagneras pas.
Si tu crois que tu vas perdre, tu as perdu,
Car dans le monde, on se rend compte que le succès, dépend de la confiance en toi ;
Tout dépend de notre état d'esprit.
Les batailles de la vie ne sont pas gagnées par les plus forts ni les plus rapides,
mais par ceux qui croient en eux...
et pensent toujours: " Je Peux "
-AUTEUR INCONNU
SI TU CROIS
Si tu crois qu'un sourire , est plus fort qu'une arme.
Si tu crois que ce qui rassemble les hommes est plus important que ce qui les divise.
Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre du temps et lui garder ton sourire.
Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit sans la renvoyer et sans te défendre.
Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin.
Si l'injustice qui frappe les autres te révolte autant que celle que tu subis.
Si tu crois qu'un pardon va plus loin qu'une vengeance.
Si tu sais donner gratuitement de ton temps.
Si pour toi l'étranger que tu rencontres es un frère.
Si tu partages ton pain et que tu sais y joindre un morceau de ton coeur.
Si tu sais préférer l'espérance au soupçon.
Si le regard d'un enfant parvient encore à désarmer ton coeur.
Si tu crois que l'amour est la seule force de discussion.
Alors La Paix viendra...
-AUTEUR INCONNU
Si tu crois que ce qui rassemble les hommes est plus important que ce qui les divise.
Si tu peux écouter le malheureux qui te fait perdre du temps et lui garder ton sourire.
Si tu sais accepter la critique et en faire ton profit sans la renvoyer et sans te défendre.
Si tu peux te réjouir de la joie de ton voisin.
Si l'injustice qui frappe les autres te révolte autant que celle que tu subis.
Si tu crois qu'un pardon va plus loin qu'une vengeance.
Si tu sais donner gratuitement de ton temps.
Si pour toi l'étranger que tu rencontres es un frère.
Si tu partages ton pain et que tu sais y joindre un morceau de ton coeur.
Si tu sais préférer l'espérance au soupçon.
Si le regard d'un enfant parvient encore à désarmer ton coeur.
Si tu crois que l'amour est la seule force de discussion.
Alors La Paix viendra...
-AUTEUR INCONNU
UN AMI SINCÈRE
Un ami sincère
Peut faire naître un sourire
Quand nous sommes abattus
Et que rien ne va plus
Un ami sincère
Peut comprendre mes épreuves
Et d'une simple poignée de main
Nous remettre en chemin
Un ami sincère
Est fait pour partager
Nos rêves les plus secrets
Tout en demeurant discret
Un ami sincère
Vaut plus que de l'or
Car au fond de son coeur
Il ne veut que notre bonheur.
-AUTEUR INCONNU
Peut faire naître un sourire
Quand nous sommes abattus
Et que rien ne va plus
Un ami sincère
Peut comprendre mes épreuves
Et d'une simple poignée de main
Nous remettre en chemin
Un ami sincère
Est fait pour partager
Nos rêves les plus secrets
Tout en demeurant discret
Un ami sincère
Vaut plus que de l'or
Car au fond de son coeur
Il ne veut que notre bonheur.
-AUTEUR INCONNU
LE JARDIN DE MES SOUVENIRS
Ce soir une foule de souvenirs,
remonte dans ma mémoire...
Et au jardin secret de mon coeur,
je découvre encore des trésors de bonheur...
Je me revois lorsque j'avais vingt ans,
perdue dans un monde qui me semblait bien grand,
alors que mon seul souci, était de quitter ce monde d' enfant...
J'ai ensuite connu l'amour et très vite...
J'ai vu que le monde des grands me réservait bien des tourments...
Ma vie poursuivait sa course, me bousculant au gré du temps...
Et puis là, sont arrivés les trois plus grands amours de ma vie...
Et jamais à ce moment là, je n'aurais cru que ce ne serait pas toujours un jardin de fleurs
j'ai connu le chagrin et les nuits sans fin...
Et me sentant trahie, j'ai crié seule la nuit ,
Ce sont les blessures du coeur, bien plus que celles du corps,
qui font les plus profondes cicatrices...
Mon plus grand regret aujourd'hui, c'est de réaliser,
qu'une partie de ma vie est demeurée dans l'ombre...
Toutes ces années j'ai cherché la lumière.
Celle qui comme une bouée,
m'aiderait à traverser les ténèbres...
Là ...où moi je m'étais engloutie...
Comme un animal blessé, seul dans la nuit...
Mais aujourd'hui je réalise...
Avec les années et la maturité acquise,
que rien n'est jamais perdu,
que chaque larme versée, a sa raison d'être...
Et à travers toutes ces épreuves que j'ai du traverser,
la vie a encore sa beauté...
Et que rien n'est comparable au sourire d'un enfant...
qui se blottit contre toi, tout doucement...
Et que laisser parler son coeur,
c'est ouvrir la porte à l'espoir...
Pour se laisser délivrer de ses chaînes d'amertume.
Oui la vie aura toujours un sens...
Elle nous apprend à devenir maîtres de nous-mêmes,
Et nulle richesse, n'est plus grande...
que de savoir l'apprécier...
AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
TOI QUI EST SEUL(E)
Ce soir, prend congé de la souffrance.
Ouvre courageusement la porte de ton coeur,
et tire la révérence...
Avant de sombrer dans la noirceur...
Viens mon ami...
Ensemble on va danser sur ta solitude...
Ferme les yeux doucement sur les erreurs passées.
Ne te laisse pas bercer par la mélancolie,
Oublie ton enfance blessée,
ne crains pas de réinventer ta vie.
Ouvre franchement ton coeur,
tu peux encore aimer sans avoir peur...
Ne laisse plus dormir ton âme,
dans les racines de l'amertume.
Ferme à jamais les yeux, sur toutes les meurtrissures de ton coeur.
Laisse tout ton être émerger de sa froidure,
entre l'ombre et la lumière,
l'immensité et la démesure...
Et quand la tristesse t'envahira,
Rappelle-toi toujours,
que les cicatrices du coeur,
ont aussi leur poussière,
et que sur ces restes sacrés...
Ne pose jamais tes mains.
Viens mon ami...
Ensemble on va danser sur ta solitude...
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
remonte dans ma mémoire...
Et au jardin secret de mon coeur,
je découvre encore des trésors de bonheur...
Je me revois lorsque j'avais vingt ans,
perdue dans un monde qui me semblait bien grand,
alors que mon seul souci, était de quitter ce monde d' enfant...
J'ai ensuite connu l'amour et très vite...
J'ai vu que le monde des grands me réservait bien des tourments...
Ma vie poursuivait sa course, me bousculant au gré du temps...
Et puis là, sont arrivés les trois plus grands amours de ma vie...
Et jamais à ce moment là, je n'aurais cru que ce ne serait pas toujours un jardin de fleurs
j'ai connu le chagrin et les nuits sans fin...
Et me sentant trahie, j'ai crié seule la nuit ,
Ce sont les blessures du coeur, bien plus que celles du corps,
qui font les plus profondes cicatrices...
Mon plus grand regret aujourd'hui, c'est de réaliser,
qu'une partie de ma vie est demeurée dans l'ombre...
Toutes ces années j'ai cherché la lumière.
Celle qui comme une bouée,
m'aiderait à traverser les ténèbres...
Là ...où moi je m'étais engloutie...
Comme un animal blessé, seul dans la nuit...
Mais aujourd'hui je réalise...
Avec les années et la maturité acquise,
que rien n'est jamais perdu,
que chaque larme versée, a sa raison d'être...
Et à travers toutes ces épreuves que j'ai du traverser,
la vie a encore sa beauté...
Et que rien n'est comparable au sourire d'un enfant...
qui se blottit contre toi, tout doucement...
Et que laisser parler son coeur,
c'est ouvrir la porte à l'espoir...
Pour se laisser délivrer de ses chaînes d'amertume.
Oui la vie aura toujours un sens...
Elle nous apprend à devenir maîtres de nous-mêmes,
Et nulle richesse, n'est plus grande...
que de savoir l'apprécier...
AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
TOI QUI EST SEUL(E)
Ce soir, prend congé de la souffrance.
Ouvre courageusement la porte de ton coeur,
et tire la révérence...
Avant de sombrer dans la noirceur...
Viens mon ami...
Ensemble on va danser sur ta solitude...
Ferme les yeux doucement sur les erreurs passées.
Ne te laisse pas bercer par la mélancolie,
Oublie ton enfance blessée,
ne crains pas de réinventer ta vie.
Ouvre franchement ton coeur,
tu peux encore aimer sans avoir peur...
Ne laisse plus dormir ton âme,
dans les racines de l'amertume.
Ferme à jamais les yeux, sur toutes les meurtrissures de ton coeur.
Laisse tout ton être émerger de sa froidure,
entre l'ombre et la lumière,
l'immensité et la démesure...
Et quand la tristesse t'envahira,
Rappelle-toi toujours,
que les cicatrices du coeur,
ont aussi leur poussière,
et que sur ces restes sacrés...
Ne pose jamais tes mains.
Viens mon ami...
Ensemble on va danser sur ta solitude...
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
ET SI C'ÉTAIT VRAI
Dans ce monde, ou l'amour est de plus en plus rapide,
où le racisme, malheureusement est présent à chaque instant.
Pourquoi, sur cette terre, où devrait pourtant régner l'harmonie,
faut-il que des êtres humains vivent dans la peur,
simplement à cause de leur couleur.
Ne serions-nous pas mieux de vivre tous ensemble,
unis dans la paix, nos remords sont toujours nos plus grandes et douleureuses punitions.
-ET SI C'ÉTAIT VRAI
L'homme se dit impuissant face à l'amour,
et pourtant il est tellement puissant face à la haine.
La guerre commence toujours dans le coeur des hommes méchants.
Et c'est pour ça que des gens meurent inutilement.
Pour que la justice règne sur cette terre, il faut d'abord, la faire régner dans notre propre coeur.
Alors là seulement, germera le bonheur.
-ET SI C'ÉTAIT VRAI
Nos paroles sont des armes bien cruelles,
elles ne tuent pas toujours, elles blessent parfois,
et la blessure peut laisser des cicatrices pour la vie,
et là, ou la peur envahit le coeur de l'homme.
Dieu lui-même devient un ombre sur lui,
On grandit dans l'amour des autres,
mais on se détruit dans la haine.
-ET SI C'ÉTAIT VRAI
Que tous les hommes sur terre s'aimaient comme des frères.
Qu'ensemble ils détruiraient la souffrance et la misère.
Comme la terre serait belle, on la souhaiterait alors éternelle.
ET SI C'ÉTAIT VRAI
Que tous les humains de la terre, peu importe leur couleur,
s'unissent tous ensemble pour ne plus jamais se détruire.
Comme il ferait beau, ce jour-là...oui:
vraiment beau !
-AUTEURE: Claire De La Chevrotière
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
où le racisme, malheureusement est présent à chaque instant.
Pourquoi, sur cette terre, où devrait pourtant régner l'harmonie,
faut-il que des êtres humains vivent dans la peur,
simplement à cause de leur couleur.
Ne serions-nous pas mieux de vivre tous ensemble,
unis dans la paix, nos remords sont toujours nos plus grandes et douleureuses punitions.
-ET SI C'ÉTAIT VRAI
L'homme se dit impuissant face à l'amour,
et pourtant il est tellement puissant face à la haine.
La guerre commence toujours dans le coeur des hommes méchants.
Et c'est pour ça que des gens meurent inutilement.
Pour que la justice règne sur cette terre, il faut d'abord, la faire régner dans notre propre coeur.
Alors là seulement, germera le bonheur.
-ET SI C'ÉTAIT VRAI
Nos paroles sont des armes bien cruelles,
elles ne tuent pas toujours, elles blessent parfois,
et la blessure peut laisser des cicatrices pour la vie,
et là, ou la peur envahit le coeur de l'homme.
Dieu lui-même devient un ombre sur lui,
On grandit dans l'amour des autres,
mais on se détruit dans la haine.
-ET SI C'ÉTAIT VRAI
Que tous les hommes sur terre s'aimaient comme des frères.
Qu'ensemble ils détruiraient la souffrance et la misère.
Comme la terre serait belle, on la souhaiterait alors éternelle.
ET SI C'ÉTAIT VRAI
Que tous les humains de la terre, peu importe leur couleur,
s'unissent tous ensemble pour ne plus jamais se détruire.
Comme il ferait beau, ce jour-là...oui:
vraiment beau !
-AUTEURE: Claire De La Chevrotière
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
AUJOURD'HUI JE T'AI PARDONNÉ
Toi, celui à qui j'avais promis ma vie,
Toi, qu'autrefois j'ai aimé à l' infini...
Toi, qui es le père de mes enfants...
Toi, que j'ai réussi à oublier avec le temps...
Toi, qui jadis m' a cruellement trahie...
Oui, aujourd'hui je t'ai pardonné...
Les années ont passées depuis, et moi qui croyais ne plus pouvoir aimer...
Aujourd'hui, un être merveilleux partage ma vie...
Et malheureusement c'est toi,
qui te dois de vivre dans l'ennui et dans l'oubli...
Je garde malgré tout de très bons souvenirs...
Mais jamais plus,,,je ne vais revenir...
Cette histoire appartient désormais au passé,
j'ai déjà presque tout oublié...
et je ne suis plus maintenant...
que la mère de tes enfants...
Oui, aujourd'hui je t'ai pardonné...
- AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE-
- DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
Toi, qu'autrefois j'ai aimé à l' infini...
Toi, qui es le père de mes enfants...
Toi, que j'ai réussi à oublier avec le temps...
Toi, qui jadis m' a cruellement trahie...
Oui, aujourd'hui je t'ai pardonné...
Les années ont passées depuis, et moi qui croyais ne plus pouvoir aimer...
Aujourd'hui, un être merveilleux partage ma vie...
Et malheureusement c'est toi,
qui te dois de vivre dans l'ennui et dans l'oubli...
Je garde malgré tout de très bons souvenirs...
Mais jamais plus,,,je ne vais revenir...
Cette histoire appartient désormais au passé,
j'ai déjà presque tout oublié...
et je ne suis plus maintenant...
que la mère de tes enfants...
Oui, aujourd'hui je t'ai pardonné...
- AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE-
- DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
TOI LE POÈTE
Toi, l'ange de douceur avec des larmes plein le coeur.
Toi, le poète aux milles couleurs
Qui sourit avec tant de charme
Toi, qui n' a pas toujours été compris
Et dont j'ai le privilège d'être amie
Toi le poète
Dont les mots m'ont si souvent consolée
Parle-moi de tes défaites
De tes illusions du passé
Présente-moi ton univers
Raconte-moi tes rêves
Toi qui es lumière
Même dans l' éphémère
Toi le poète
Dessine-moi tes misères
Dis-moi qui es cet homme
Derrière les mots que tu écris
Toi mon doux et tendre ami
Celui dont je suis fière
Toi le poète
Et ami qui m'a toujours tenu la main
Je veux te dire de tout mon coeur
Merci d' avoir guider mon chemin
Tu es vraiment un ange
André Julien
Claire...
P.S. J'ai écris ce texte pour un grand ami à moi
Il est une âme précieuse à mes yeux
Il a tout mon respect et mon admiration
Je donnerais beaucoup pour avoir son inspiration
Merci André
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
LE TEMPS
On dit que le temps arrange tout,
Il suffit de l'attendre.
Mais qu'il est donc lent, le temps de l 'attente.
L' attente de l'ami qu'on n' a pas vu depuis longtemps.
L 'attente des secours quand survient l' accident.
L' attente de la guérison, quand on éternise la souffrance.
L' attente du soleil, quand tarde le printemps.
L' attente de la compassion, quand dure
l' indifférence.
L' attente du pardon, pour une lointaine offense.
Pourtant il suffit qu'on l' oublie,
le temps.
Quand arrive l'ami qu'on attendait depuis longtemps.
Que se réveillent les souvenirs d' antan
Et qu'on déroule les histoires du bon vieux temps.
Il en profite pour nous échapper et galoper, le temps.
Et quand vient le temps d' aller voir où en est le temps.
On s' aperçoit qu'il a filé comme le vent, le temps.
Et qu'on ne peut le rattraper, le temps.
On a parfois envie de l' emprisonner, le temps,
dans les bons moments.
Mais lent ou rapide, on ne peut l' arrêter de passer, le temps.
Puis quand vient le temps de disposer de notre temps,
On voudrait arrêter, histoire de regarder passer le temps.
Mais on se lasse vite à ne faire que regarder passer le temps.
Alors on proposeras à un ami, à qui il ne reste que peu de temps,
De l' accompagner jusqu'au bout de son temps.
On répondra à l' enfant qui nous demande un peu de temps,
Que pour lui, on a tout notre temps.
En espérant que, quand il ne nous restera que peu de temps,
Quelqu'un aura pour nous, un peu de temps.
-TEXTE DE MARTIAL NOUREAU
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
LETTRE D'UN SOLDAT À SES PARENTS
Je vous écris de mon lit d'hôpital,
D'un pays qui n'est pas le mien.
" Engagez-vous, m'avait dit le général,
"allons soyons bon citoyens".
Ensemble nous irons combattre le mal".
Mais le mal que j,ai vu en face de moi,
N'était qu'un enfant venu d'ailleurs.
Tremblant de peur, éperdu d'effroi.
On devait lui avoir dit que le mal c'était moi,
Et que je devais périr afin que la vie lui soit meilleure.
Le général a pointé le doigt vers le mal,
Et a ordonné" feu soldat, fais ton devoir".
"Pardon général, je ne sais pas tuer,
On ne m'a appris qu'à aimer".
Puis j'ai vu Jean tomber, c'était mon ami.
Alors à mon tour, je suis devenu guerrier.
À l'autre bout de mon fusil, un coeur a éclaté.
Quand le mal a frappé très fort,je suis tombé.
On venait de me prendre une partie de mon corps.
Enfin il me restait mes yeux pour pleurer sur mon sort.
Le général est venu a serré la main qui me restait
Et a dit" Bravo soldat! Tu as servi avec amour la nation".
Tu recevras,honneurs,médailles et pension".
"Quel amour mon général? je n'ai ressenti que haine et souffrance".
Mais le général était déjà parti en recrutement.
Les combattants du mal allait manquer.
Des hommes reviennent d'un enfer que nous "nommons" guerre !
Ils y ont laissé la santé parfois un membre ou deux, souvent leur âme.
Des années plus tard, ils se demandent encore qui où quoi ils ont servi:
Leur Patrie ou bien d'obscurs intérêts ?
-TEXTE DE MARTIAL NOUREAU-
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
D'un pays qui n'est pas le mien.
" Engagez-vous, m'avait dit le général,
"allons soyons bon citoyens".
Ensemble nous irons combattre le mal".
Mais le mal que j,ai vu en face de moi,
N'était qu'un enfant venu d'ailleurs.
Tremblant de peur, éperdu d'effroi.
On devait lui avoir dit que le mal c'était moi,
Et que je devais périr afin que la vie lui soit meilleure.
Le général a pointé le doigt vers le mal,
Et a ordonné" feu soldat, fais ton devoir".
"Pardon général, je ne sais pas tuer,
On ne m'a appris qu'à aimer".
Puis j'ai vu Jean tomber, c'était mon ami.
Alors à mon tour, je suis devenu guerrier.
À l'autre bout de mon fusil, un coeur a éclaté.
Quand le mal a frappé très fort,je suis tombé.
On venait de me prendre une partie de mon corps.
Enfin il me restait mes yeux pour pleurer sur mon sort.
Le général est venu a serré la main qui me restait
Et a dit" Bravo soldat! Tu as servi avec amour la nation".
Tu recevras,honneurs,médailles et pension".
"Quel amour mon général? je n'ai ressenti que haine et souffrance".
Mais le général était déjà parti en recrutement.
Les combattants du mal allait manquer.
Des hommes reviennent d'un enfer que nous "nommons" guerre !
Ils y ont laissé la santé parfois un membre ou deux, souvent leur âme.
Des années plus tard, ils se demandent encore qui où quoi ils ont servi:
Leur Patrie ou bien d'obscurs intérêts ?
-TEXTE DE MARTIAL NOUREAU-
-DROITS D'AUTEUR RÉSERVÉS-
JOHN
Enfant du vent et de la terre,
Tu cris au monde ta colère,
Révolté, révolutionnaire,
Mais bon petit père,
Chasse ton amertume,
Délivres-toi de toute rancune,
Ouvre tes yeux, ouvres ton coeur,
À chacun sa part de bonheur,
Regarde autour de toi,
Le soleil, les oiseaux, la joie,
La pluie fait pousser les fleurs,
Que la lumière couvre tes peurs,
Nul n'est tenu d'être le meilleur,
Laisse couler tes pleurs,
Cueille la vie à pleine mains,
Regarde vers demain,
Fais taire ta souffrance,
Fais taire ta colère,
Enfant de Dieu et de la terre.
-AUTEURE: MAMAN BIDOU
Tu cris au monde ta colère,
Révolté, révolutionnaire,
Mais bon petit père,
Chasse ton amertume,
Délivres-toi de toute rancune,
Ouvre tes yeux, ouvres ton coeur,
À chacun sa part de bonheur,
Regarde autour de toi,
Le soleil, les oiseaux, la joie,
La pluie fait pousser les fleurs,
Que la lumière couvre tes peurs,
Nul n'est tenu d'être le meilleur,
Laisse couler tes pleurs,
Cueille la vie à pleine mains,
Regarde vers demain,
Fais taire ta souffrance,
Fais taire ta colère,
Enfant de Dieu et de la terre.
-AUTEURE: MAMAN BIDOU
DÈS L'AUBE
Dès l'aube quand l'astre du jour
apparaît bien au-delà des nuages,
ses rayons modérés et velours
viennent réchauffer tout le paysage
Dans les champs blanchis par le givre,
il vient caresser l'herbe jaunie
afin que les tiges
s'éveillent doucement à la vie !
Ses lueurs australes s'élancent dans l'azur
et reflète sur le sol enneigé
des milliers de petits éclats dorés,
prémisse d'une belle aventure !
Dans le ciel, quelques cyrrus s'allongent,
s'étirent et se tendent à l'infini,
voilant les rayons de l'astre qui luit...
laissant encore planer les songes !
La brume descend sur la campagne
et dispose un voile en filigrane
sur les champs, les arbres et la montagne...
l'astre, rougeoyant diffuse son âme !
Sur l'étang, la surface des eaux reflète
des lumières irisées, et les silhouettes
des grands arbres que leur ombre jettent
sur le sombre miroir glacé de la fête !
Puis soudainement s'éclaire comme par magie...
une journée commence et sourit !
Bonjour matin, bonjour la vie !
La nature salue l'astre réjoui !!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
apparaît bien au-delà des nuages,
ses rayons modérés et velours
viennent réchauffer tout le paysage
Dans les champs blanchis par le givre,
il vient caresser l'herbe jaunie
afin que les tiges
s'éveillent doucement à la vie !
Ses lueurs australes s'élancent dans l'azur
et reflète sur le sol enneigé
des milliers de petits éclats dorés,
prémisse d'une belle aventure !
Dans le ciel, quelques cyrrus s'allongent,
s'étirent et se tendent à l'infini,
voilant les rayons de l'astre qui luit...
laissant encore planer les songes !
La brume descend sur la campagne
et dispose un voile en filigrane
sur les champs, les arbres et la montagne...
l'astre, rougeoyant diffuse son âme !
Sur l'étang, la surface des eaux reflète
des lumières irisées, et les silhouettes
des grands arbres que leur ombre jettent
sur le sombre miroir glacé de la fête !
Puis soudainement s'éclaire comme par magie...
une journée commence et sourit !
Bonjour matin, bonjour la vie !
La nature salue l'astre réjoui !!!
-AUTEURE: SOLVEIG OU CATHI
UN VIOLON BLEU
Un joli violon bleu
dans le cadre de ma vie
compose avec harmonie
les dissonances des dieux !
Assis près de celui-ci,
Mon coeur écoute ravi
les sonorités de son âme
qui tremble épanoui !
Il lui raconte la tristesse,
les émois et les pleurs
enfermés dans son coeur
qui cherche le bonheur !
Il lui chuchote les secrets
des amours d'une nuit
empreints de nostalgie
et de douce mélancolie !
Il s'envole dans les airs,
dans une folie incendiaire
qui tourbillonne dans le vent
comme un violent ouragan !
Puis il revient en dansant
sur les cordes en pizzicoti...
Quelques notes sur le tendre...
pour s'éteindre amoureusement !!
-AUTEURE: SOLVEIG
UNE ROSE
Une rose, un violon, une partition,
Cela suffit pour s'envoler vers l'horizon
des infinies passions !
Rose rouge, fleur de l'amour par excellence,
Parfumée, elle vous encense,
elle vous met le coeur en transe !
Elle murmure dans les silences,
elle allume le regard et danse !
Violon langoureux, tu nous charmes
par ta sonorité, tu nous désarmes
nous effleures et nous enflammes !
Tu caresses infiniment nos âmes,
fais frissonner sous la peau, la flamme !
Partition de la vie aux effets chatoyants,
tour à tour, tu fais naître des sentiments
sous la caresse et les frissons du vent !
Tes effets s'envolent en tourbillonnant...
Tu nous fais vibrer à chaque instant !
-AUTEURE: SOLVEIG
Cela suffit pour s'envoler vers l'horizon
des infinies passions !
Rose rouge, fleur de l'amour par excellence,
Parfumée, elle vous encense,
elle vous met le coeur en transe !
Elle murmure dans les silences,
elle allume le regard et danse !
Violon langoureux, tu nous charmes
par ta sonorité, tu nous désarmes
nous effleures et nous enflammes !
Tu caresses infiniment nos âmes,
fais frissonner sous la peau, la flamme !
Partition de la vie aux effets chatoyants,
tour à tour, tu fais naître des sentiments
sous la caresse et les frissons du vent !
Tes effets s'envolent en tourbillonnant...
Tu nous fais vibrer à chaque instant !
-AUTEURE: SOLVEIG
LE MARIAGE
Ça doit être un des plus beaux jours de ma vie
Tu seras absent tout au long de la cérémonie
C'est sur,tu aurais été mon témoin
Mais tu es parti trop loin
Tu ne peux pas faire le chemin à l'envers
Mon coeur ne connait plus comme saison, que l'hiver
Mon alliance scintillera de mille feux
Elle me rappellera,l'éclat de tes yeux
Mon petit,mon enfant, tu sera malgré tout présent
Car tu es dans mon coeur jusqu'à la nuit des temps
Je t'aime mon fils,mon bonheur
Ce jour là, fais-moi un signe de douceur.
-AUTEURE: LYSIANNE
Tu seras absent tout au long de la cérémonie
C'est sur,tu aurais été mon témoin
Mais tu es parti trop loin
Tu ne peux pas faire le chemin à l'envers
Mon coeur ne connait plus comme saison, que l'hiver
Mon alliance scintillera de mille feux
Elle me rappellera,l'éclat de tes yeux
Mon petit,mon enfant, tu sera malgré tout présent
Car tu es dans mon coeur jusqu'à la nuit des temps
Je t'aime mon fils,mon bonheur
Ce jour là, fais-moi un signe de douceur.
-AUTEURE: LYSIANNE
MON FILS GREGORY
Tu m'as appris la patience
Pour les neuf longs mois de ta naissance
Tu m'as appris l'amour pur,intense
Au fond de tes yeux gris bleus,immenses
Tu m'as appris à pardonner
Quand, tes petites bêtises,tu venais m'avouer
Tu m'as appris la tendresse
Quand,dans mes bras s'écoulait ta tristesse
Tu as appris à mon coeur à se gonfler de joie
Rien qu'avec un sourire de toi
Tu m'as appris à me battre,à lutter
À travers des forces insoupçonnées
Je ne m'imaginais pas te laisser
Face au cancer qui voulait nous séparer
Tu m'as appris le don total de soi
Car rien n'était trop beau pour toi
Tu m'as appris également la complicité
Tout en laissant passer entre nous le souffle de la liberté
Tu m'as appris à me redresser,continuer de marcher
Quand au bout de 23 ans, ton beau-père dehors m'a jeté
Tu m'as appris l'humilité
Car tout bonheur peut un jour s'écrouler
Tu m'as appris aussi l'espérance
Tu revoir, quand sur cette terre, sera finie mon errance
Tu m'as appris à devenir moi
Tout ce que je suis, je te le dois
Sans toi, je ne serais pas
Ma plus grande fierté, est d'avoir un fils comme toi.
-AUTEURE: LYSIANNE
Pour les neuf longs mois de ta naissance
Tu m'as appris l'amour pur,intense
Au fond de tes yeux gris bleus,immenses
Tu m'as appris à pardonner
Quand, tes petites bêtises,tu venais m'avouer
Tu m'as appris la tendresse
Quand,dans mes bras s'écoulait ta tristesse
Tu as appris à mon coeur à se gonfler de joie
Rien qu'avec un sourire de toi
Tu m'as appris à me battre,à lutter
À travers des forces insoupçonnées
Je ne m'imaginais pas te laisser
Face au cancer qui voulait nous séparer
Tu m'as appris le don total de soi
Car rien n'était trop beau pour toi
Tu m'as appris également la complicité
Tout en laissant passer entre nous le souffle de la liberté
Tu m'as appris à me redresser,continuer de marcher
Quand au bout de 23 ans, ton beau-père dehors m'a jeté
Tu m'as appris l'humilité
Car tout bonheur peut un jour s'écrouler
Tu m'as appris aussi l'espérance
Tu revoir, quand sur cette terre, sera finie mon errance
Tu m'as appris à devenir moi
Tout ce que je suis, je te le dois
Sans toi, je ne serais pas
Ma plus grande fierté, est d'avoir un fils comme toi.
-AUTEURE: LYSIANNE
L'ABSENCE
Comment combler tes absences
Comment vivre tes silences
Ne plus jamais entendre ta voix
Comment vivre, malgré mon désarroi
Ne plus jamais croiser ton regard
J'ai envie de hurler mon désespoir
Ne plus jamais entendre tes éclats de rire
Et c'est tout mon être qui se déchire
La douleur est si immense, si profonde
Je me retrouve dans un autre monde
Mes jours sont devenus, des nuits
Le monde, où je me réfugie
Depuis que tu es parti
Toi mon fils, toi Grégory
-AUTEURE: LYSIANNE
Comment vivre tes silences
Ne plus jamais entendre ta voix
Comment vivre, malgré mon désarroi
Ne plus jamais croiser ton regard
J'ai envie de hurler mon désespoir
Ne plus jamais entendre tes éclats de rire
Et c'est tout mon être qui se déchire
La douleur est si immense, si profonde
Je me retrouve dans un autre monde
Mes jours sont devenus, des nuits
Le monde, où je me réfugie
Depuis que tu es parti
Toi mon fils, toi Grégory
-AUTEURE: LYSIANNE
MON GRAND FRÈRE
Toi, mon adorable grand frère
Tu avais un peu remplacé notre père
Puis, toi aussi tu es parti
Victime d'une terrible maladie,
Tu étais toujours de bonne humeur
J'aimais dans tes yeux cette chaleur.
Jusqu'au bout, tu t'es battu
Puis un jour, je ne t'ai plus vu
Tu as laissé in vide immense
Comment combler tes absences
Tu as retrouvé j'en suis sûr,notre père
Vous ne souffrez plus,comme sur cette terre
Quand le moment sera arrivé
Mon Gregory, venez-le chercher
Protégez-le, prenez soin de lui
Je n,ai que lui, je vous le confie.
-AUTEURE: LYSIANNE
Tu avais un peu remplacé notre père
Puis, toi aussi tu es parti
Victime d'une terrible maladie,
Tu étais toujours de bonne humeur
J'aimais dans tes yeux cette chaleur.
Jusqu'au bout, tu t'es battu
Puis un jour, je ne t'ai plus vu
Tu as laissé in vide immense
Comment combler tes absences
Tu as retrouvé j'en suis sûr,notre père
Vous ne souffrez plus,comme sur cette terre
Quand le moment sera arrivé
Mon Gregory, venez-le chercher
Protégez-le, prenez soin de lui
Je n,ai que lui, je vous le confie.
-AUTEURE: LYSIANNE
L'ARMURE
Il n'existe pas d'armure
Contre ce genre de blessure
Mon cerveau est devenu une machine tortueuse
Mes pensées prennent une route sinueuse
Afficher un beau sourire facile
Éluder la réponse dû, ça va débile
L'apparence est bien illusoire
Pour celui qui refuse de voir
J'ai seulement besoin de votre soutien
Savoir que chacun se souvient
Ne croyez pas comprendre, mes pensées
N'essayez pas de m'analyser
Vous y perdriez votre temps
Personne ne connaît ce châtiment
À moins, que malheureusement
Vous n'ayez,vous aussi perdu un enfant.
-AUTEURE: LYSIANNE
Contre ce genre de blessure
Mon cerveau est devenu une machine tortueuse
Mes pensées prennent une route sinueuse
Afficher un beau sourire facile
Éluder la réponse dû, ça va débile
L'apparence est bien illusoire
Pour celui qui refuse de voir
J'ai seulement besoin de votre soutien
Savoir que chacun se souvient
Ne croyez pas comprendre, mes pensées
N'essayez pas de m'analyser
Vous y perdriez votre temps
Personne ne connaît ce châtiment
À moins, que malheureusement
Vous n'ayez,vous aussi perdu un enfant.
-AUTEURE: LYSIANNE
Le Coma
Dans le profond silence de la nuit
Le souffle de ta respiration s'enfuit
Ton corps frissonnant de fièvre intense
Ta vie est en ce moment dans la balance
J'ai vu sur les scanners,les immenses zones noires
Ce sont celles de ton cerveau détruit et sans espoir
Tu n,est plus là,et pourtant pas encore ailleurs
Comment continuer sans toi, mon bonheur
Quand j'entre dans ta chambre d'hôpital
Te voir ainsi, me fait atrocement mal
On devine sous les draps,ton pauvre corps décharné
Sur ton visage, toutes les expressions se sont envolées
Et au milieu de ton cou, cette affreuse trachéotomie,
Si j'avais le courage, je la boucherais et ainsi tout serait fini.
-AUTEURE: LYSIANNE
Le souffle de ta respiration s'enfuit
Ton corps frissonnant de fièvre intense
Ta vie est en ce moment dans la balance
J'ai vu sur les scanners,les immenses zones noires
Ce sont celles de ton cerveau détruit et sans espoir
Tu n,est plus là,et pourtant pas encore ailleurs
Comment continuer sans toi, mon bonheur
Quand j'entre dans ta chambre d'hôpital
Te voir ainsi, me fait atrocement mal
On devine sous les draps,ton pauvre corps décharné
Sur ton visage, toutes les expressions se sont envolées
Et au milieu de ton cou, cette affreuse trachéotomie,
Si j'avais le courage, je la boucherais et ainsi tout serait fini.
-AUTEURE: LYSIANNE
LE SECRET
Qu'il est dur le chemin de la vie
Sentiments d'injustices pour des non dits
Comment révéler la vérité
Afin que personne ne soit blessé
Je ne peux pas, cela ferait trop de ravages
Dans les coeurs, il y aurait trop de rage
Comment expliquer à ses proches,la pire trahison
Qui vous oblige à fuir de la maison
Non je ne dois rien dire,je dois les préserver
Un jour,je leur dirai,ils sauront la vérité
J'espère simplement qu'ils ne seront pas poursuivis de regrets
Ma seule faute,est de ne pas pouvoir dévoiler mon secret
Les agissements, ont forcément raison
Donnez-moi le temps de les gérer à ma façon
Ma famille, je vous aime à l'infini
Laissez-moi une petite place dans vos vies.
-AUTEURE: LYSIANNE
Sentiments d'injustices pour des non dits
Comment révéler la vérité
Afin que personne ne soit blessé
Je ne peux pas, cela ferait trop de ravages
Dans les coeurs, il y aurait trop de rage
Comment expliquer à ses proches,la pire trahison
Qui vous oblige à fuir de la maison
Non je ne dois rien dire,je dois les préserver
Un jour,je leur dirai,ils sauront la vérité
J'espère simplement qu'ils ne seront pas poursuivis de regrets
Ma seule faute,est de ne pas pouvoir dévoiler mon secret
Les agissements, ont forcément raison
Donnez-moi le temps de les gérer à ma façon
Ma famille, je vous aime à l'infini
Laissez-moi une petite place dans vos vies.
-AUTEURE: LYSIANNE
NOCTAMBULE , JE SUIS
Dans le ciel mon étoile luit,
Noctambule je suis;
Partout je me faufile, je vis,
À ma façon,je ris,
De côté les soucis,
Les huissiers dorment la nuit!
C'est un style que j'ai choisi;
La nuit, tous les chats sont gris,
Personne ne me poursuit,
Rendez-vous avec des amis,
Les cartes en mains, pour une partie,
Un fond sonore, la musique qui me séduit,
Je resterai là, jusqu'au bout de la nuit,
Car, noctambule je suis.
C'est un style que j'ai choisi,
La nuit,tous les chats sont gris.
-AUTEURE: MAMANBIDOU
Noctambule je suis;
Partout je me faufile, je vis,
À ma façon,je ris,
De côté les soucis,
Les huissiers dorment la nuit!
C'est un style que j'ai choisi;
La nuit, tous les chats sont gris,
Personne ne me poursuit,
Rendez-vous avec des amis,
Les cartes en mains, pour une partie,
Un fond sonore, la musique qui me séduit,
Je resterai là, jusqu'au bout de la nuit,
Car, noctambule je suis.
C'est un style que j'ai choisi,
La nuit,tous les chats sont gris.
-AUTEURE: MAMANBIDOU
Un An
Je suis condamnée à compter les années d'absences
Condamnée jour après jour à subir ce vide intense
Un an,c'est si court et si long à la fois
Trop long à supporter ton silence qui m'effraie
Trop court pour l'échéance qui vers toi
m'emmènera,
S'abrutir dans des tâches sans cesse
Pour que les images de ton agonie disparaissent
Rester seule, fuir la foule, les gens,
Car de moi, ils sont si différents
Ne plus jamais t'entendre prononcer maman,
Tu es mon fils unique, mon enfant
Les doigts crispés sur mes entrailles
Je voudrais arracher ce coeur qui me mitraille,
Le regarder entre mes doigts ensanglantés
De mes ongles violemment le lacérer
Je donnerais n'importe quoi
Sans aucune restriction,ni loi
Pour que mon cerveau, fasse une pause
Éluder toutes ces pensées moroses
Seulement dix minutes sans plus penser à rien,
Le vider complètement du mal, comme du bien
C'est une cacophonie permanente
La folie, est-elle partie prenante ?
C'est si dur de vivre, comment trouver la force de continuer,
Je voudrais m'endormir, ne jamais me réveiller
Le manque de toi, est intolérable
La douleur est devenue ingérable
C'est la première fois de ta vie, que tu me fais mal,
Je peux te dire que tu as mis le point final.
- Auteure: LYSIANNE 93
Condamnée jour après jour à subir ce vide intense
Un an,c'est si court et si long à la fois
Trop long à supporter ton silence qui m'effraie
Trop court pour l'échéance qui vers toi
m'emmènera,
S'abrutir dans des tâches sans cesse
Pour que les images de ton agonie disparaissent
Rester seule, fuir la foule, les gens,
Car de moi, ils sont si différents
Ne plus jamais t'entendre prononcer maman,
Tu es mon fils unique, mon enfant
Les doigts crispés sur mes entrailles
Je voudrais arracher ce coeur qui me mitraille,
Le regarder entre mes doigts ensanglantés
De mes ongles violemment le lacérer
Je donnerais n'importe quoi
Sans aucune restriction,ni loi
Pour que mon cerveau, fasse une pause
Éluder toutes ces pensées moroses
Seulement dix minutes sans plus penser à rien,
Le vider complètement du mal, comme du bien
C'est une cacophonie permanente
La folie, est-elle partie prenante ?
C'est si dur de vivre, comment trouver la force de continuer,
Je voudrais m'endormir, ne jamais me réveiller
Le manque de toi, est intolérable
La douleur est devenue ingérable
C'est la première fois de ta vie, que tu me fais mal,
Je peux te dire que tu as mis le point final.
- Auteure: LYSIANNE 93
APRÈS
Maman, pourquoi pleures-tu comme ça ?
Explique-moi, je ne comprends pas,
Je suis là tout près,viens dans mes bras
Je ne t'ai encore jamais vu dans cet état,
Mais que faisons-nous dans cette chambre d'hôpital ?
C'est ce jeune homme dans son lit, qui te met si mal ?
Est-ce que je le connais,il a l'air très important pour toi
Attends, je m'approche un peu, il faut que je le vois,
Non, c'est impossible, cette personne c'est moi!
Tout devient clair,je suis passé de l'autre côté,
Voilà pourquoi je suis enfin, plein de sérénité
Ma petite mère,arrête de pleurer,je suis bien
Jamais rien ne pourras briser nos liens
Sèches tes larmes,regarde,je suis là
Apaise ton coeur et tu m'entendras,
Cette lueur dans tes yeux,ça y est, tu m'as
aperçu
Le grand jour tant attendu est enfin venu.
-AUTEURE: LYSIANNE
Explique-moi, je ne comprends pas,
Je suis là tout près,viens dans mes bras
Je ne t'ai encore jamais vu dans cet état,
Mais que faisons-nous dans cette chambre d'hôpital ?
C'est ce jeune homme dans son lit, qui te met si mal ?
Est-ce que je le connais,il a l'air très important pour toi
Attends, je m'approche un peu, il faut que je le vois,
Non, c'est impossible, cette personne c'est moi!
Tout devient clair,je suis passé de l'autre côté,
Voilà pourquoi je suis enfin, plein de sérénité
Ma petite mère,arrête de pleurer,je suis bien
Jamais rien ne pourras briser nos liens
Sèches tes larmes,regarde,je suis là
Apaise ton coeur et tu m'entendras,
Cette lueur dans tes yeux,ça y est, tu m'as
aperçu
Le grand jour tant attendu est enfin venu.
-AUTEURE: LYSIANNE
PETIT HOMME, MON FIL
Quel plaisir, quand je t'ai vu
Pour la première fois,tout nu,
Enfin un garçon !
Bien grand et bien rond !
Et pour pour preuve, bien droit ton zizi,
Sur le docteur, a fait pipi !
Ce ne sera pas la dernière fois,
Ou tu feras des blagues !
Entre crise de nerfs dont tu es roi,
Et crise de rire fou !
Le chien jaune peint de noires vagues,
Mon coq aux pattes rouges,
J'te crève un oeil si tu bouges !
Que cherches-tu partout ?
Ce jumeau zigotte perdu
Dans ma grotte ventrue ?
Tu m'apportes aide et protection,
En plus de ton affection.
-AUTEURE: MAMANBIDOU
Pour la première fois,tout nu,
Enfin un garçon !
Bien grand et bien rond !
Et pour pour preuve, bien droit ton zizi,
Sur le docteur, a fait pipi !
Ce ne sera pas la dernière fois,
Ou tu feras des blagues !
Entre crise de nerfs dont tu es roi,
Et crise de rire fou !
Le chien jaune peint de noires vagues,
Mon coq aux pattes rouges,
J'te crève un oeil si tu bouges !
Que cherches-tu partout ?
Ce jumeau zigotte perdu
Dans ma grotte ventrue ?
Tu m'apportes aide et protection,
En plus de ton affection.
-AUTEURE: MAMANBIDOU
LA PERTE D'UN ENFANT
Le chagrin et le désespoir
Ont envahi ma vie ;
Je ne puis ni manger, ni boire
De plus rien,je n'ai envie
Ma compagne est la tristesse
Une perte me blesse:
"Petit enfant"
"Que j'ai bercé si tendrement
Mon coeur pleure et le bonheur
N'y est plus jamais présent."
Il est dur de perdre un enfant,
Mais la vie continue,
La vie en nous s'insinue,
Ailleurs j'étais partie,
Bien loin de moi-même,
Ma raison n'était plus la même.
Mais un jour dans mon ventre,
Mon enfant, mon bébé batteur,
Tes petits pieds ont fait battre mon coeur,
Tu me racontais des histoires,
J'avais besoin d'y croire;
Nous avons partagé les secrets de la vie,
Il était temps que je rentre.
Ensemble, l'horreur nous avons combattu,
Ensemble, par amour nous avons vaincu,
Dix mois, en moi je t'ai gardé,
Venir au monde tu as préféré,
Je t'ai fait naître,
Tu m'as fait renaître.
Je sais que pour toujours tu m'aimes
Et moi aussi à l'infini, je t'aime.
-AUTEURE: MAMANBIDOU
Ont envahi ma vie ;
Je ne puis ni manger, ni boire
De plus rien,je n'ai envie
Ma compagne est la tristesse
Une perte me blesse:
"Petit enfant"
"Que j'ai bercé si tendrement
Mon coeur pleure et le bonheur
N'y est plus jamais présent."
Il est dur de perdre un enfant,
Mais la vie continue,
La vie en nous s'insinue,
Ailleurs j'étais partie,
Bien loin de moi-même,
Ma raison n'était plus la même.
Mais un jour dans mon ventre,
Mon enfant, mon bébé batteur,
Tes petits pieds ont fait battre mon coeur,
Tu me racontais des histoires,
J'avais besoin d'y croire;
Nous avons partagé les secrets de la vie,
Il était temps que je rentre.
Ensemble, l'horreur nous avons combattu,
Ensemble, par amour nous avons vaincu,
Dix mois, en moi je t'ai gardé,
Venir au monde tu as préféré,
Je t'ai fait naître,
Tu m'as fait renaître.
Je sais que pour toujours tu m'aimes
Et moi aussi à l'infini, je t'aime.
-AUTEURE: MAMANBIDOU
QU'EST-CE QUE C'EST ?
N'occasionnent aucun frais et ne requièrent aucune pile.
Ils sont non taxables et à l'abri de l'inflation.
Ils s'avèrent même excellents pour la relaxation.
Ils ne craignent pas les voleurs et ne polluent pas.
Sont offerts en une seule grandeur, et ne se volatilisent pas.
Ils ne consomment à peu près pas d'énergie,
mais redonnent beaucoup de vie.
Ils soulagent le stress et la douleur.
Ils alimentent votre bonheur.
Ils combattent la dépression et créent la joie.
Ils rehaussent même l'estime de soi!
Ils améliorent la circulation de votre sang et ne causent aucun effet secondaire déplaisant.
Ils constituent à mon avis, un remède digne de Merlin:
Ce sont, je vous les recommandent,
Les Câlins !
-AUTEUR INCONNU (INTERNET)
Ils sont non taxables et à l'abri de l'inflation.
Ils s'avèrent même excellents pour la relaxation.
Ils ne craignent pas les voleurs et ne polluent pas.
Sont offerts en une seule grandeur, et ne se volatilisent pas.
Ils ne consomment à peu près pas d'énergie,
mais redonnent beaucoup de vie.
Ils soulagent le stress et la douleur.
Ils alimentent votre bonheur.
Ils combattent la dépression et créent la joie.
Ils rehaussent même l'estime de soi!
Ils améliorent la circulation de votre sang et ne causent aucun effet secondaire déplaisant.
Ils constituent à mon avis, un remède digne de Merlin:
Ce sont, je vous les recommandent,
Les Câlins !
-AUTEUR INCONNU (INTERNET)
CHAQUE ENFANT APPREND PAR L'EXEMPLE
Si un enfant vit entouré de critiques, il apprend à condamner.
Si un enfant vit entouré d'hostilité, il apprend à être agressif.
Si un enfant vit entouré de moqueries, il apprend à être timide.
Si un enfant vit entouré de honte, il apprend à se sentir coupable.
Si un enfant vit entouré de tolérance sans laxisme, il apprend à être patient.
Si un enfant vit entouré d'encouragements, il apprend à agir.
Si un enfant vit entouré d'éloges, sans excès, il apprend à se faire valoir.
Si un enfant vit entouré de probité, il à être juste.
Si un enfant vit entouré de sécurité, il apprend à faire confiance.
Si un enfant vit entouré d'amitié, il apprend à aimer la vie.
-AUTEUR: ANONYME (INTERNET)
Si un enfant vit entouré d'hostilité, il apprend à être agressif.
Si un enfant vit entouré de moqueries, il apprend à être timide.
Si un enfant vit entouré de honte, il apprend à se sentir coupable.
Si un enfant vit entouré de tolérance sans laxisme, il apprend à être patient.
Si un enfant vit entouré d'encouragements, il apprend à agir.
Si un enfant vit entouré d'éloges, sans excès, il apprend à se faire valoir.
Si un enfant vit entouré de probité, il à être juste.
Si un enfant vit entouré de sécurité, il apprend à faire confiance.
Si un enfant vit entouré d'amitié, il apprend à aimer la vie.
-AUTEUR: ANONYME (INTERNET)
À MON FRÈRE
Il pleut dans mon coeur
Il pleut dans ma vie
Grande est ma douleur
Car tu es parti
Comme tu me manque
Mon tendre ami
Tes yeux espiègles me manquent
Reviens-moi et souris...
Toucher de nouveau ta barbe
Comme elle était douce ami
Rire à tes petites blagues
Dieu! sans toi quel ennui
Recevoir encore tes bisous
Ça me manque, mon ami
Toi seul, les faisais si doux
Il ne faut pas que j'oublie
La vie ne t'as pas gâté
Et pour cela, tu t'es enfui
Comme tu vas me manquer
Jusqu'à la fin de ma vie
Tu étais un ami, petit frère
Tu étais mon petit frère, mon ami
Je t'aimerai toujours, je l'espère
ciel, trop dure la vie
Il pleut dans mon coeur
Il pleut dans ma vie
Grande est ma douleur
Car tu es parti
IEL:
DIMINUTIF DE MURIELLE, IL ADORAIT M'APPELER COMME ÇA.
JE DÉDIE CE POÈME EN HOMMAGE À MON PETIT FRÈRE GUY,QUI EST DÉCÉDÉ EN 2007
LOULOU, ÉTAIT LE DIMINUTIF QU'IL UTILISAIT POUR MOI...
DE LOUISE XXX
ANGES
LE CIEL EST REMPLI D'ANGES
Cela fait un magnifique mélange
Ils sont si beaux
Ils sont si hauts
Le ciel est envahi
De la terre, ils sont partis
Ils nous manquent tellement
On les aime énormément
On les pleure trop souvent
Sans eux, on vit terriblement
Pourtant on doit poursuivre notre chemin
On doit avancer jusqu'à la fin
Parce qu'un énorme vide s'est installé
Toutes ces larmes qu'on ne peut sécher
C'est si dur de continuer sans leur présence
Si dur d'accepter leur absence
On se bat pour eux
On veut les rendre heureux
On fait en sorte qu'ils soient fiers de nous.
-PROPOSÉ PAR: RAYJO
Cela fait un magnifique mélange
Ils sont si beaux
Ils sont si hauts
Le ciel est envahi
De la terre, ils sont partis
Ils nous manquent tellement
On les aime énormément
On les pleure trop souvent
Sans eux, on vit terriblement
Pourtant on doit poursuivre notre chemin
On doit avancer jusqu'à la fin
Parce qu'un énorme vide s'est installé
Toutes ces larmes qu'on ne peut sécher
C'est si dur de continuer sans leur présence
Si dur d'accepter leur absence
On se bat pour eux
On veut les rendre heureux
On fait en sorte qu'ils soient fiers de nous.
-PROPOSÉ PAR: RAYJO
SI J'AVAIS SU
Si j'avais su..
Que je ne te reverrais pas,
Chaque minute passée avec toi,
Je les aurais étirées tant de fois,
Au lieu de toujours être pressée de tout terminer
après,
De courir le temps,
Tout le temps.
Si j'avais su...
Hier soir quand je suis allée me coucher,
Que je ne te reverrais pas,
Même fatiguée, j'aurais dû entrer dans ta chambre te dire bonsoir,
Te donner un baiser sur la joue.
Si J'avais su...
Quand tu as fermé la porte ce matin,
Que ce serais la dernière fois que tu la fermerais,
Je t'aurais fait un câlin et t'aurais dit combien
je t'aimais.
Si j'avais su...
Que c'était la dernière fois que j'entendais ta voix,
J'aurais enregistrer chaque parole et pourrais les réentendre chaque jour.
Si j'avais su...
Pourquoi dans ce temps là,
On n'a pas droit à une deuxième chance ?
Pour rattraper tout cela,
Ne serais-ce qu'une fois,
Un autre jour pour dire je t'aime tant,
Pour dire combien tu es important,
Te serrer si fort contre mon coeur.
Si j'avais su...
Tout cela!
Pourquoi attendre le temps des regrets,
Personne ne sait de quoi sera fait demain.
Si j'avais su...
Ne laissez pas cette chance vous filer entre les doigts,
Car pour cela il n'y a pas de deuxième fois,
Dites je t'aime à chaque instant,
Prenez ceux que vous aimer et serrez-les contre votre coeur.
Vous serez de ceux qui ne diront pas,
SI J'AVAIS SU...
-CRÉÉE LE 11 OCTOBRE 2007
-AUTEUR INCONNU
Que je ne te reverrais pas,
Chaque minute passée avec toi,
Je les aurais étirées tant de fois,
Au lieu de toujours être pressée de tout terminer
après,
De courir le temps,
Tout le temps.
Si j'avais su...
Hier soir quand je suis allée me coucher,
Que je ne te reverrais pas,
Même fatiguée, j'aurais dû entrer dans ta chambre te dire bonsoir,
Te donner un baiser sur la joue.
Si J'avais su...
Quand tu as fermé la porte ce matin,
Que ce serais la dernière fois que tu la fermerais,
Je t'aurais fait un câlin et t'aurais dit combien
je t'aimais.
Si j'avais su...
Que c'était la dernière fois que j'entendais ta voix,
J'aurais enregistrer chaque parole et pourrais les réentendre chaque jour.
Si j'avais su...
Pourquoi dans ce temps là,
On n'a pas droit à une deuxième chance ?
Pour rattraper tout cela,
Ne serais-ce qu'une fois,
Un autre jour pour dire je t'aime tant,
Pour dire combien tu es important,
Te serrer si fort contre mon coeur.
Si j'avais su...
Tout cela!
Pourquoi attendre le temps des regrets,
Personne ne sait de quoi sera fait demain.
Si j'avais su...
Ne laissez pas cette chance vous filer entre les doigts,
Car pour cela il n'y a pas de deuxième fois,
Dites je t'aime à chaque instant,
Prenez ceux que vous aimer et serrez-les contre votre coeur.
Vous serez de ceux qui ne diront pas,
SI J'AVAIS SU...
-CRÉÉE LE 11 OCTOBRE 2007
-AUTEUR INCONNU
AU-DELÀ DE L'OCÉAN
Comme pour endormir ma souffrance ce soir
Je laisse mon coeur se libérer
Et de tout mon être, je m'abandonne à te rêver
Je ferme les yeux, et je te vois amoureusement
Venir vers moi, défiant l'horizon, bien au-delà
Comme si à cet instant même,
L'océan n'existait pas entre toi et moi
Comme si ce soir pour la première fois
Je pouvais te prendre dans mes bras
Je sens ton regard se poser passionnément sur moi
Je ferme les yeux et je m'abandonne à toi
Ce soir, j'ai envie de te sentir dans tout mon être
Toucher ton âme et caresser ton corps
La nuit descend lentement, et tous les deux
Blessés par la souffrance et l'ennui
Suppliant l'amour d'éterniser ce sursis
Et,pendant un instant merveilleux dans ce rêve
J'ai cru que tu étais vraiment près de moi
Je lève les yeux et regarde vers l'océan
Je te vois venir lentement vers moi
Je le sais, je le sens, j'ai moi-même imaginé
L'espace pour t'accueillir
Je t'aime xxx
Hacen...habibi fi arer el alam...ahlem bika...xxx
Claire xxx
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE-
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
Je laisse mon coeur se libérer
Et de tout mon être, je m'abandonne à te rêver
Je ferme les yeux, et je te vois amoureusement
Venir vers moi, défiant l'horizon, bien au-delà
Comme si à cet instant même,
L'océan n'existait pas entre toi et moi
Comme si ce soir pour la première fois
Je pouvais te prendre dans mes bras
Je sens ton regard se poser passionnément sur moi
Je ferme les yeux et je m'abandonne à toi
Ce soir, j'ai envie de te sentir dans tout mon être
Toucher ton âme et caresser ton corps
La nuit descend lentement, et tous les deux
Blessés par la souffrance et l'ennui
Suppliant l'amour d'éterniser ce sursis
Et,pendant un instant merveilleux dans ce rêve
J'ai cru que tu étais vraiment près de moi
Je lève les yeux et regarde vers l'océan
Je te vois venir lentement vers moi
Je le sais, je le sens, j'ai moi-même imaginé
L'espace pour t'accueillir
Je t'aime xxx
Hacen...habibi fi arer el alam...ahlem bika...xxx
Claire xxx
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE-
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
SI UN JOUR
Le soleil refusait
De se lever sur ma vie
Et que la noirceur
Devenait mon seul sursis
Si un jour à force d'espérer
Il n'arrivait plus à me réchauffer
Ce serait la fin de toutes mes guerres
Le repos de mes errances éphémères
SI UN JOUR
Je n'étais plus capable de sourire
Que tous mes rêves s'étaient envolés
Après avoir cru de tout mon être
Peut-être bien, alors
Que je pourrais me reposer.
Si un jour je me sens trop fatiguée
Dans tous mes délires inachevés
Saura-t-on me pardonner
SI UN JOUR
Je décidais de croire en Dieu
Ce serait bien la première fois,
En fermant les yeux,
Que quelqu'un me tendrait les bras
SI UN JOUR...
-AUTEURE: CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE 01/02/05-
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
C'ÉTAIT EN SEPTEMBRE
C'était...
Au moment où le vent du large...
Traversait l'océan doucement...
Comme un manège...
Enveloppant nos âmes...
Et que toutes les étoiles du firmament...
Attendaient passionnément...
Pour toucher nos visages...
C'ÉTAIT...
L'irrésistible envie de voir nos yeux...
Se croiser dans un rêve...
Infiniment merveilleux...
Et tellement beau...
Presque inaccessible...
C'ÉTAIT...
Comme si tout l'univers...
Faisait la paix autour de nous...
Et, au-dessus de l'océan...
J'ai vu les étoiles danser au firmament...
De toute éternité cette nuit-là...
Deux âmes meurtries par la vie...
Venaient de s'embrasser tendrement...
C'ÉTAIT...
En septembre dernier...
Sublime instant de magie...
Quand tendrement...
Mon plus beau rêve prenait vie...
Pour la première fois..
Ce soir-là...
J'ai pu enfin toucher à l'infini...
Et poser mes mains sur lui...
C'ÉTAIT...
En septembre dernier...
Dans un merveilleux rêve...
Prenant vie...
Mais tellement fragile et blessé...
On pouvait sentir nos coeurs se déchirer...
D'avoir tant espéré et attendu...
À trop souffrir en silence mon ange...
En douceur, on s'est détruits...
Toi et moi on s'est perdus...
Simplement...
Parce que on a eu peur...
C'était en décembre dernier...
Que tu prenais ta dernière envolée...
Et depuis cette nuit-là...
Pas une seule fois champion...
Je n'ai levé les yeux au ciel...
Sans penser à toi...
Je revois toutes les étoiles...
Qui dansaient cette nuit là...
Je revois même l'éclat de tes yeux...
À l'instant où tu m'avais dit...
Je t'aime...
Et qu'on ignoraient encore...
Le dur combat...
Qui devait nous mettre à mort...
C'était en décembre dernier...
Et le vent du large pour me consoler...
M'a soufflé ce petit message...
Entre deux âmes qui se sont touchées...
Dorment des liens si profonds...
Qu'ils ne meurent jamais...
Même quand l'un deux...
Disparait...
C.était en décembre dernier...
Qu'une partie de ma vie...
S'était arrêtée...
Mais je m'en suis sortie...
J'ai ressucité et depuis...
Chaque jour je me réjouie...
D'avoir pu toucher mon rêve...
Et vécu cet amour infini avec lui...
C'ÉTAIT...
Il y a 10 mois déjà...
Et je souris toujours...
Si tendrement...
Quand je pense à lui...
-AUTEURE:CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE: SEPTEMBRE 2004
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
SPÉCIALEMENT...
Pour toi mon Champion...
Où que tu sois...
Entre Lyon et moi...
Claire xxx
Au moment où le vent du large...
Traversait l'océan doucement...
Comme un manège...
Enveloppant nos âmes...
Et que toutes les étoiles du firmament...
Attendaient passionnément...
Pour toucher nos visages...
C'ÉTAIT...
L'irrésistible envie de voir nos yeux...
Se croiser dans un rêve...
Infiniment merveilleux...
Et tellement beau...
Presque inaccessible...
C'ÉTAIT...
Comme si tout l'univers...
Faisait la paix autour de nous...
Et, au-dessus de l'océan...
J'ai vu les étoiles danser au firmament...
De toute éternité cette nuit-là...
Deux âmes meurtries par la vie...
Venaient de s'embrasser tendrement...
C'ÉTAIT...
En septembre dernier...
Sublime instant de magie...
Quand tendrement...
Mon plus beau rêve prenait vie...
Pour la première fois..
Ce soir-là...
J'ai pu enfin toucher à l'infini...
Et poser mes mains sur lui...
C'ÉTAIT...
En septembre dernier...
Dans un merveilleux rêve...
Prenant vie...
Mais tellement fragile et blessé...
On pouvait sentir nos coeurs se déchirer...
D'avoir tant espéré et attendu...
À trop souffrir en silence mon ange...
En douceur, on s'est détruits...
Toi et moi on s'est perdus...
Simplement...
Parce que on a eu peur...
C'était en décembre dernier...
Que tu prenais ta dernière envolée...
Et depuis cette nuit-là...
Pas une seule fois champion...
Je n'ai levé les yeux au ciel...
Sans penser à toi...
Je revois toutes les étoiles...
Qui dansaient cette nuit là...
Je revois même l'éclat de tes yeux...
À l'instant où tu m'avais dit...
Je t'aime...
Et qu'on ignoraient encore...
Le dur combat...
Qui devait nous mettre à mort...
C'était en décembre dernier...
Et le vent du large pour me consoler...
M'a soufflé ce petit message...
Entre deux âmes qui se sont touchées...
Dorment des liens si profonds...
Qu'ils ne meurent jamais...
Même quand l'un deux...
Disparait...
C.était en décembre dernier...
Qu'une partie de ma vie...
S'était arrêtée...
Mais je m'en suis sortie...
J'ai ressucité et depuis...
Chaque jour je me réjouie...
D'avoir pu toucher mon rêve...
Et vécu cet amour infini avec lui...
C'ÉTAIT...
Il y a 10 mois déjà...
Et je souris toujours...
Si tendrement...
Quand je pense à lui...
-AUTEURE:CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE: SEPTEMBRE 2004
-TOUS DROITS RÉSERVÉS-
SPÉCIALEMENT...
Pour toi mon Champion...
Où que tu sois...
Entre Lyon et moi...
Claire xxx
TENDRE LA MAIN
-Tendre la main à un enfant en ouvrant son coeur, c'est lui permettre de découvrir l'amour.
-Tendre la main à un aveugle en ouvrant son coeur,
-C'est lui permettre de voir avec les yeux du coeur, l'amour.
-Tendre la main à un sourd en ouvrant son coeur, c'est lui permettre d'entendre la mélodie de l'amour.
-Tendre la main à un muet en ouvrant son coeur, c'est lui permettre de parler d'amour tendre.
-Tendre la main à un pauvre en ouvrant son coeur, c'est lui permettre de s'enrichir d'amour.
-Tendre la main à un handicapé physique en ouvrant son coeur, c'est lui permettre d'avancer vers le chemin de -l'amour.
-Tendre la main à un handicapé mental en ouvrant son coeur, c'est lui permettre de comprendre l'amour.
-Tendre la main à tous ceux qui sont dans le besoin peu importe leur âge ou leur origine en ouvrant son -Coeur ,c'est leur permettre de vivre dans un monde meilleur,car l'amour a un coeur d'or pour tous les coeurs.
-Alors,tendez la main,ouvrez votre coeur à l'amour,cela permettra à votre coeur de trouver le bonheur.
Proposé Par : loucok
-Tendre la main à un aveugle en ouvrant son coeur,
-C'est lui permettre de voir avec les yeux du coeur, l'amour.
-Tendre la main à un sourd en ouvrant son coeur, c'est lui permettre d'entendre la mélodie de l'amour.
-Tendre la main à un muet en ouvrant son coeur, c'est lui permettre de parler d'amour tendre.
-Tendre la main à un pauvre en ouvrant son coeur, c'est lui permettre de s'enrichir d'amour.
-Tendre la main à un handicapé physique en ouvrant son coeur, c'est lui permettre d'avancer vers le chemin de -l'amour.
-Tendre la main à un handicapé mental en ouvrant son coeur, c'est lui permettre de comprendre l'amour.
-Tendre la main à tous ceux qui sont dans le besoin peu importe leur âge ou leur origine en ouvrant son -Coeur ,c'est leur permettre de vivre dans un monde meilleur,car l'amour a un coeur d'or pour tous les coeurs.
-Alors,tendez la main,ouvrez votre coeur à l'amour,cela permettra à votre coeur de trouver le bonheur.
Proposé Par : loucok
TOI QUI NE PEUT PLUS MARCHER
Toi pour qui le soleil ne se lève qu'à moitié
et qui te vois obligé de vivre dans la dépendance.
Toi qui depuis déjà très longtemps ne peux plus marcher
et vis continuellement dans la souffrance.
Toi qui est condamné dans un fauteuil roulant,
Oui,toi celui à qui on a volé la liberté,
je comprends même que tu dois te sentir révolté,
quelques fois. Oui, et tu en as le droit.
Tu regardes les autres autour de toi.
C'est facile pour eux de se déplacer.
Mais malheureusement toi,tes jambes refusent d'avancer,
tes mains ne cherchent plus à saisir,
et pourtant...
Tu voudrais tellement être capable d'écrire
et de maîtriser tous ces mouvements.
Ne serais-ce que pour te sentir moins dépendant.
Souvent tu as dû rêver de te sentir libéré de ces
chaînes,
qui te retiennent paralysé à ce fauteuil qui te suit désormais,comme une ombre placée devant tes yeux,te rappelant constamment ton incapacité.
Non, mais est-ce nécessaire de parcourir la terre
quand il suffit simplement de descendre à l'intérieur de soi-même
là où il n'y a pas de frontières.
Il y a deux façons de regarder le monde,avec les yeux et avec le coeur.
Malheureusement il n'y a que la peine et la douleur, pour créer une réflexion et la plus grande des richesses,
c'est d'ouvrir son coeur à la vie, et nos larmes ne sont que le reflet de notre intérieur.
Et peu importe nos malheurs,il ne faut jamais oublier,ce jour où l'on a aimé.
C'est un souvenir précieux pour l'éternité.
Même si on ne peut plus marcher..
CLAIRE DE LA ROCHELIÈRE
AUTEURE TOUS DROITS RÉSERVÉS
MES DEUX AMOURS
Toi, mon beau Rémi,mon petit ange d'amour,
et toi Tanga, petite princesse de mon coeur...
tous les deux, vous avez transformé ma vie,
en océan de bonheur...
Quand mes yeux se posent sur vous tendrement...
je ressens une caresse sublime,
sur mon coeur de grand-maman...
L'amour que vous m'inspirez est infini...
il ne connaîtra jamais l'oubli...
Tous les deux, je vous ai vus naître,
du premier souffle de vie...au premier sourire...
mon coeur sera toujours un refuge de sérénité,
pour vous deux...
Une grand-maman comprend toujours,
toutes les peines et les ennuis...
elle en a eu beaucoup elle aussi,dans sa vie...
Heureusement que vous êtes là mes deux amours...
vous mettez du soleil sur mes vieux jours...
J'aimerais ce soir vous apprendre,
quelque chose de très important,
quelque chose, que vous ne devriez jamais...
oublier avec le temps...
Quoiqu'il arrive dans la vie gardez toujours...
sérénité et apaisement...
Et quand viendront des jours de pluie,
il y aura toujours tout près de vous,
un coeur de mamie qui veille sur vous,
et vous aime à l'infini...
-AVEC TOUT MON AMOUR,
-MAMIE XXXXXX
-CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE-
-AUTEURE TOUS DROITS RÉSERVÉS-
PETITE MAMIE
Le temps passe lentement et la vie nous bouscule...
Tout comme l'orage s'apaisant au crépuscule...
Il m'arrive d'être affaiblie,et de rêver doucement...
Sur les ailes du temps...
Plus on vieillit, plus le coeur s'attendrit...
Dans ma mémoire, inlassablement,
les souvenirs défilent, mais jamais,
les images ne s'atténuent...
Parfois mon coeur devient fébrile,
Mais toujours le film de ma vie, continue...
Au fond de moi,je sais que la satisfaction du devoir accompli...
m'accompagnera jusqu'à la fin de ma vie...
Plus on vieillit, plus le coeur s'attendrit...
Toute ma vie, j'ai su donner le meilleur de moi-même,
N'est-ce pas là l'amour suprême,
Et même aujourd'hui, accablée par la maladie,
Le bonheur des miens,demeurera toujours,mon plus grand souci.
Quand je regarde derrière moi,
Le chemin parcouru pendant toutes ces années,
Et que je fais courageusement le bilan,
de toutes ces épreuves que j'ai dû traverser...
Je vois bien alors, que toutes ces peines m'ont fait grandir...
Et qu'à travers toutes ces pierres..
Il pousse encore quelques fleurs...
Au jardin de mon coeur...
Plus on vieillit, Plus le coeur s'attendrit...
J'ai écrit ce texte, pour une très gentille dame,
pour qui j'ai beaucoup d'admiration.
CLAIRE DE LA CHEVROTIÈRE
AUTEURE TOUS DROITS RÉSERVÉS
SI
Si la " NOTE " disait :
"Ce n'est pas une note qui fait la musique"...
il n'y aurait pas de symphonie !
Si le MOT disait:
"Ce n'est pas un mot qui peut faire une page"...
il n'y aurait pas de livre !
Si la PIERRE disait:
"Ce n'est pas une pierre qui fait monter un mur"...
il n'y aurait pas de maison !
Si la GOUTTE D'EAU disait:
"Ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière"...
il n'y aurait pas d'océan"...
Si le GRAIN DE BLÉ disait:
Ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer
un champ"...
il n'y aurait pas de moisson !
Si l' HOMME disait:
"Ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité"...
il n'y aurait pas de justice et de paix,
de dignité et de bonheur sur la terre des Hommes !
Comme la symphonie a besoin de chaque note,
comme le livre a besoin de chaque mot,
comme la maison a besoin de chaque pierre,
comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau,
comme la moisson a besoin de chaque grain de blé,
L'HUMANITÉ TOUTE ENTIÈRE A BESOIN DE TOI,
LÀ OÙ TU ES UNIQUE DONC,IRREMPLAÇABLE !
MICHEL QUOIST (1921-1996-)-
AMOUR & TENDRESSE
UNE ÉPICE RARE
Il y a dans ma vie
une épice rare et inespérée,
je dirais même bénie du grand Esprit...
Cette poudre magique transforme
mon quotidien en rayon de soleil
dès qu'elle se répand
sur un problème à résoudre,
une solution à trouver...
J'ai cette chance inouïe de posséder
cette substance miracle...
Quand je traverse des temps difficiles,
quand j'ai besoin de courage et d'énergie
pour faire face au nouveau jour qui naît...
C'est alors que mon épice magique
vient saupoudrer ma journée
de compréhension et d'écoute active,
son parfum me soutient,
sa force me guide,
son arôme discret me protège...
Le plus beau souhait que je puisse vous faire,
c'est de recevoir vous aussi
cette poudre magique
et de la saupoudrer autour de vous...
Cette épice de la vie a pour nom:
AMOUR
-AUTEUR INCONNU-
Il y a dans ma vie
une épice rare et inespérée,
je dirais même bénie du grand Esprit...
Cette poudre magique transforme
mon quotidien en rayon de soleil
dès qu'elle se répand
sur un problème à résoudre,
une solution à trouver...
J'ai cette chance inouïe de posséder
cette substance miracle...
Quand je traverse des temps difficiles,
quand j'ai besoin de courage et d'énergie
pour faire face au nouveau jour qui naît...
C'est alors que mon épice magique
vient saupoudrer ma journée
de compréhension et d'écoute active,
son parfum me soutient,
sa force me guide,
son arôme discret me protège...
Le plus beau souhait que je puisse vous faire,
c'est de recevoir vous aussi
cette poudre magique
et de la saupoudrer autour de vous...
Cette épice de la vie a pour nom:
AMOUR
-AUTEUR INCONNU-
À TOI MON AMIE
Je me sens de qualité investie,
D'une fonction de prêtresse,
Que je ne m'étais pas prédit...
Je ne détiens pas la sagesse !
Je ne suis que moi, l'amie
Avec mes qualités et mes faiblesses...
Avec mes émois et mes envies:
En aucun cas je ne suis maîtresse !
Avec mon peu d'expérience
Je prête l'oreille,j'écoute!
Dans cette jungle immense,
J'ai parcouru des routes...
Je cherche le bonheur,toujours !
Face à l'égoïsme,je persiste.
Je garde confiance malgré les détours...
Je sens mon coeur qui bat et j'existe !
L'amour m'aide et me transporte...
Il me donne le courage.
Je fais face et je supporte
Ceux qui veulent me mettre en rage !
Ne conjuguez pas au présent,
Souffrances et agressivité !
Compose sur le clavier du temps
La symphonie de l'amitié!!!! Solveig
-AUTEURE: SOLVEIG (CATHI)
LES EXPRESSIONS
LES EXPRESSIONS BRETONNES...
L'enfant est familièrement appelé: le marmouz.
Il est coco: il est mignon.
Un bouchon d'listre: un chiffon pour faire la vaisselle,un torchon.
Un tapis: se dit d'une couverture.
Drailler: Correspond au verbe casser.
-LES EXPRESSIONS LYONNAISES...
Le parler Lyonnais actuel est une variante régionale du français. À Lyon: pour demander l'heure,vous entendrez sûrement " c'est quelle heure ?".
Attraper un rhume se dit: "^rendre un rhume".
Une gâche: est une place.
Je me suis déchirée: équivaut à "je me suis trompée".
Tu t'es oublié: pour expliquer une panne d'oreiller".
Une gogmandise: est une bêtise.
Frouiller: tricher.
Un pélo: n'est autre qu'un mec.
Une fenotte: une femme.
Une bambane: quelqu'un de parresseux!
Une gâche: une place.
-LES EXPRESSIONS AUVERGNATES...
L'auvergnat est un dialecte qui s'éteint peu à peu, certaines expressions sont pourtant bien présentes dans le quotidien des habitants de cette région.
Se chivader: signifie tomber.
Bouillérer: équivaut à lutter dans la neige quand on est embourbé en voiture (notion de peine).
Cranchumer: traverser (par-dessus)une barrière, par exemple.
Un godin: un asticot attaché à un hameçon .
-LES EXPRESSIONS CH'TIS...
Les expressions ch'tis animent les conversations dans le Nord- Pas- De-Calais.
Récemment, elles ont été découvertes, au travers du film" Bienvenue chez les ch'tis" de Dany Boon.
Le ch'tis, c'est quasiment des picard, c'est une sorte de patois de la langue picarde.
-En voilà quelques expressions !
À l'arvoyure ! Au plaisir de se revoir !
Qu'elle est belote ! C'est une belle fille !
Qu'elle est belle comme un oignon, on peut
point l'arveitier sins braire ! Elle est belle (affreuse) comme un oignon, on ne peut pas la regarder sans pleurer.
ch'est comme si in pétot dans in violon pour i donner du son ! C'est comme si on pétait dans un violon pour lui donner du son (+ à ne sert à rien)
Ch'est d'el pichate ed'baudet ! C'est de la pisse à baudet ! (C'est de la mauvaise bière )
Tu vas pas en chier une pendule !
Tu ne vas pas en faire un fromage !
Une wassingue:
Une serpillière.
Une Caillière:
Une chaise.
Raviser:
Regarder.
Entre les expressions, les proverbes ou encore les dictons, les normands ne savent plus où donner de la tête.
Le normand est un des plus importants patois
de la langue de l'oïl.
Voici la liste qui représente quelques mots ou
prononciation propre au normand.
"Aimable comme une vache qui bute":
"Qu'elle n'est pas aimable du tout".
"Être franc comme un âne qui recule".
"N'en faire qu'à sa tête".
" C'est du latin feuillu":
"C'est une langue incompréhensible".
" Avoir de l'allonge".
" Avoir un bon travail".
" Faire des petits pieds".
" Être enceinte".
" Semer de la violette devant un cochon".
" Adapter un remède inadapté".
" À t'entôt".
" À cet après-midi".
" Une goule".
" Une figure".
" La clenche".
" La poignée de la porte".
Recherches: Louise Bourgoin
L'enfant est familièrement appelé: le marmouz.
Il est coco: il est mignon.
Un bouchon d'listre: un chiffon pour faire la vaisselle,un torchon.
Un tapis: se dit d'une couverture.
Drailler: Correspond au verbe casser.
-LES EXPRESSIONS LYONNAISES...
Le parler Lyonnais actuel est une variante régionale du français. À Lyon: pour demander l'heure,vous entendrez sûrement " c'est quelle heure ?".
Attraper un rhume se dit: "^rendre un rhume".
Une gâche: est une place.
Je me suis déchirée: équivaut à "je me suis trompée".
Tu t'es oublié: pour expliquer une panne d'oreiller".
Une gogmandise: est une bêtise.
Frouiller: tricher.
Un pélo: n'est autre qu'un mec.
Une fenotte: une femme.
Une bambane: quelqu'un de parresseux!
Une gâche: une place.
-LES EXPRESSIONS AUVERGNATES...
L'auvergnat est un dialecte qui s'éteint peu à peu, certaines expressions sont pourtant bien présentes dans le quotidien des habitants de cette région.
Se chivader: signifie tomber.
Bouillérer: équivaut à lutter dans la neige quand on est embourbé en voiture (notion de peine).
Cranchumer: traverser (par-dessus)une barrière, par exemple.
Un godin: un asticot attaché à un hameçon .
-LES EXPRESSIONS CH'TIS...
Les expressions ch'tis animent les conversations dans le Nord- Pas- De-Calais.
Récemment, elles ont été découvertes, au travers du film" Bienvenue chez les ch'tis" de Dany Boon.
Le ch'tis, c'est quasiment des picard, c'est une sorte de patois de la langue picarde.
-En voilà quelques expressions !
À l'arvoyure ! Au plaisir de se revoir !
Qu'elle est belote ! C'est une belle fille !
Qu'elle est belle comme un oignon, on peut
point l'arveitier sins braire ! Elle est belle (affreuse) comme un oignon, on ne peut pas la regarder sans pleurer.
ch'est comme si in pétot dans in violon pour i donner du son ! C'est comme si on pétait dans un violon pour lui donner du son (+ à ne sert à rien)
Ch'est d'el pichate ed'baudet ! C'est de la pisse à baudet ! (C'est de la mauvaise bière )
Tu vas pas en chier une pendule !
Tu ne vas pas en faire un fromage !
Une wassingue:
Une serpillière.
Une Caillière:
Une chaise.
Raviser:
Regarder.
Entre les expressions, les proverbes ou encore les dictons, les normands ne savent plus où donner de la tête.
Le normand est un des plus importants patois
de la langue de l'oïl.
Voici la liste qui représente quelques mots ou
prononciation propre au normand.
"Aimable comme une vache qui bute":
"Qu'elle n'est pas aimable du tout".
"Être franc comme un âne qui recule".
"N'en faire qu'à sa tête".
" C'est du latin feuillu":
"C'est une langue incompréhensible".
" Avoir de l'allonge".
" Avoir un bon travail".
" Faire des petits pieds".
" Être enceinte".
" Semer de la violette devant un cochon".
" Adapter un remède inadapté".
" À t'entôt".
" À cet après-midi".
" Une goule".
" Une figure".
" La clenche".
" La poignée de la porte".
Recherches: Louise Bourgoin
AMITIÉ
N'occasionnent aucun frais et ne requièrent aucune pile.
Ils sont non taxables et à l'abri de l'inflation.
Ils s'avèrent même excellents pour la relaxation.
Ils ne craignent pas les voleurs, et ne polluent pas.
Sont offert en une seule grandeur et ne se volatilisent pas.
Ils ne consument à peu près pas d'énergie.
Mais redonnent beaucoup de vie.
Ils soulagent le stress et la douleur.
Ils alimentent votre bonheur.
Ils combattent la dépression et créent la joie.
Ils rehaussent même l'estime de soi !
Ils améliorent la circulation de votre sang et ne causent aucun effet secondaire déplaisant.
Ils constituent à mon avis, un remède digne de Merlin:
Ce sont, je vous les recommande,
Les câlins...
-AUTEUR: INCONNU
MÉNAGERIE
Oh ! papa, toi qui sais tout,
Toi qui lis dans tous les livres,
Et même dans le journal
Où les lettres sont si fines,
Oh ! papa, devine, devine !
Ses yeux sont deux billes de verres,
Ses oreilles feuilles de chou.
Il a mis la peau de son père,
Avec son nez en caoutchouc,
Il fait peur aux petits enfants.
Qu'est-ce que c'est? C'est l'éléphant.
Il ne va jamais à l'école,
Il se met les doigts dans le nez.
Et, quand il se gratte la tête,
C'est avec ses ongles de pied.
Il n'a pas l'air très bien portant.
Devine! C'est l'orang-outang.
Elle dort dès qu'on la regarde.
Dès qu'on s'éloigne, elle a marché.
C'est comme une pierre malade.
Elle s'amuse à s'ennuyer.
Petit père, devines-tu ?
C'est la T.O.R.T.U.E tu !
-AUTEUR: GEORGES DUHAMEL
-PROPOSÉ PAR: LOUISE BOURGOIN
Toi qui lis dans tous les livres,
Et même dans le journal
Où les lettres sont si fines,
Oh ! papa, devine, devine !
Ses yeux sont deux billes de verres,
Ses oreilles feuilles de chou.
Il a mis la peau de son père,
Avec son nez en caoutchouc,
Il fait peur aux petits enfants.
Qu'est-ce que c'est? C'est l'éléphant.
Il ne va jamais à l'école,
Il se met les doigts dans le nez.
Et, quand il se gratte la tête,
C'est avec ses ongles de pied.
Il n'a pas l'air très bien portant.
Devine! C'est l'orang-outang.
Elle dort dès qu'on la regarde.
Dès qu'on s'éloigne, elle a marché.
C'est comme une pierre malade.
Elle s'amuse à s'ennuyer.
Petit père, devines-tu ?
C'est la T.O.R.T.U.E tu !
-AUTEUR: GEORGES DUHAMEL
-PROPOSÉ PAR: LOUISE BOURGOIN
LA RECONNAISSANCE...
Je suis reconnaissant...
Pour l'épouse qui fait réchauffer des restants pour le souper, parce qu'elle est à la maison avec moi et non avec quelqu'un d'autre...
Pour le mari qui s'écrase devant la télé car il est avec moi et non sorti dans un bar...
Pour l'adolescent qui se plaint encore d'avoir à faire vaisselle, car il est à la maison et non en train de traîner dans la rue où de faire le trottoir...
Pour les taxis que je paye, ce qui signifie que j'ai un emploi...
Pour le ménage à faire après les party, parce que ça signifie que j'ai été entouré d'amis...
Pour les vêtements qui sont un peu serrés,
cela signifie que j'ai assez de nourriture pour manger...
Pour l'ombre qui me regarde travailler, cela signifie que je suis au dehors au soleil...
De tondre le gazon, de laver les fenêtres, de réparer le lavabo, parce que ça signifie que j'ai un toit...
Pour toutes les plaintes que j'entends au sujet du gouvernement, cela signifie l'on a la liberté
d'expression...
Pour la place de stationnement, ce qui signifie que je suis capable de marcher et que je suis chanceux d'avoir un moyen de transport...
Pour ma facture élevée de chauffage, car cela signifie que je suis au chaud...
D'entendre une personne se plaindre ou chanter faux, car cela signifie que je ne suis pas sourd...
Pour la pile de linge sale, parce que ça signifie que j'ai des vêtements à me mettre sur le dos...
Pour la fatigue, pour les muscles qui me font mal à la fin de la journée, car cela signifie que je suis capable de travailler fort...
Pour mon cadran qui sonne tous les matins,car cela signifie que je suis en vie...
Et finalement, pour la tonne de courriels que je reçois, car cela signifie que j'ai des amis qui pensent à moi.
-AUTEUR(E) INCONNU(E)
-PROPOSÉ PAR: LOUISE BOURGOIN
Pour l'épouse qui fait réchauffer des restants pour le souper, parce qu'elle est à la maison avec moi et non avec quelqu'un d'autre...
Pour le mari qui s'écrase devant la télé car il est avec moi et non sorti dans un bar...
Pour l'adolescent qui se plaint encore d'avoir à faire vaisselle, car il est à la maison et non en train de traîner dans la rue où de faire le trottoir...
Pour les taxis que je paye, ce qui signifie que j'ai un emploi...
Pour le ménage à faire après les party, parce que ça signifie que j'ai été entouré d'amis...
Pour les vêtements qui sont un peu serrés,
cela signifie que j'ai assez de nourriture pour manger...
Pour l'ombre qui me regarde travailler, cela signifie que je suis au dehors au soleil...
De tondre le gazon, de laver les fenêtres, de réparer le lavabo, parce que ça signifie que j'ai un toit...
Pour toutes les plaintes que j'entends au sujet du gouvernement, cela signifie l'on a la liberté
d'expression...
Pour la place de stationnement, ce qui signifie que je suis capable de marcher et que je suis chanceux d'avoir un moyen de transport...
Pour ma facture élevée de chauffage, car cela signifie que je suis au chaud...
D'entendre une personne se plaindre ou chanter faux, car cela signifie que je ne suis pas sourd...
Pour la pile de linge sale, parce que ça signifie que j'ai des vêtements à me mettre sur le dos...
Pour la fatigue, pour les muscles qui me font mal à la fin de la journée, car cela signifie que je suis capable de travailler fort...
Pour mon cadran qui sonne tous les matins,car cela signifie que je suis en vie...
Et finalement, pour la tonne de courriels que je reçois, car cela signifie que j'ai des amis qui pensent à moi.
-AUTEUR(E) INCONNU(E)
-PROPOSÉ PAR: LOUISE BOURGOIN
L'AMITIÉ
L'amitié
C'est un bourgeon que j'ai vu naître et s'épanouir en une fleur merveilleuse;
L'amitié
C'est un chant d'oiseau, s'élevant,dans la fraîcheur du matin,pour appeler les hommes à la joie;
L'amitié
C'est un soleil radieux dont les chauds rayons pénètrent jusqu'au plus intime de l'être;
L'amitié
C'est une étoile brillante au fond des yeux pour illuminer le silence de la nuit,
L'amitié
C'est une parole qui va au-delà de la pauvreté des mots pour rejoindre l'autre dans tout ce qu'il vit;
L'amitié
C'est le réconfort d'un sourire qui encourage et stimule lorsque tout va mal;
L'amitié
C'est un regard qui devine un état d'âme avant que l'autre ne parle;
L'amitié
C'est un arc-en-ciel unissant deux coeurs après une ondée de tristesse;
L'amitié
C'est la joie de la rencontre, du repas pris ensemble et du partage de ce que nous sommes;
L'amitié
C'est profond comme la mer, limpide comme la source,c'est une porte ouverte sur l'infini;
L'amitié
C'est une main tendre pour aider à gravir un sentier de haute montagne où la fête est déjà commencée;
L'amitié
C'est un joyau inestimable,c'est une fleur éternelle que nous avons le bonheur de contempler ensemble;
L'amitié
C'est aussi cette complicité vécue ensemble depuis quelques années.
-CRÉÉE LE 07 JANVIER 2006
-AUTEUR INCONNU
C'est un bourgeon que j'ai vu naître et s'épanouir en une fleur merveilleuse;
L'amitié
C'est un chant d'oiseau, s'élevant,dans la fraîcheur du matin,pour appeler les hommes à la joie;
L'amitié
C'est un soleil radieux dont les chauds rayons pénètrent jusqu'au plus intime de l'être;
L'amitié
C'est une étoile brillante au fond des yeux pour illuminer le silence de la nuit,
L'amitié
C'est une parole qui va au-delà de la pauvreté des mots pour rejoindre l'autre dans tout ce qu'il vit;
L'amitié
C'est le réconfort d'un sourire qui encourage et stimule lorsque tout va mal;
L'amitié
C'est un regard qui devine un état d'âme avant que l'autre ne parle;
L'amitié
C'est un arc-en-ciel unissant deux coeurs après une ondée de tristesse;
L'amitié
C'est la joie de la rencontre, du repas pris ensemble et du partage de ce que nous sommes;
L'amitié
C'est profond comme la mer, limpide comme la source,c'est une porte ouverte sur l'infini;
L'amitié
C'est une main tendre pour aider à gravir un sentier de haute montagne où la fête est déjà commencée;
L'amitié
C'est un joyau inestimable,c'est une fleur éternelle que nous avons le bonheur de contempler ensemble;
L'amitié
C'est aussi cette complicité vécue ensemble depuis quelques années.
-CRÉÉE LE 07 JANVIER 2006
-AUTEUR INCONNU
EXPRESSIONS QUÉBÉCOISES
Mais qu'est-ce qui disent ces québécois ?
Voici quelques expressions québécoises et leurs traductions.
Ça va aider nos cousins de France à nous comprendre.
"Un gros merde"
-Bonne chance
"Faire la baboune"
-Bouder
"Avoir pas mal de foin"
-Avoir beaucoup d'argent
"Avoir des papillons dans le ventre"
-être nerveux, avoir le trac
"Avoir la chienne"
-Avoir peur.
"Avoir danse de St-Guy"
-Quelqu'un qui bouge tout le temps.
"Avoir de la mine dans le crayon"
-Avoir un gros appétit sexuel.
"Avoir de la luck"
-Avoir de la chance.
"Avoir la guédille au nez"
-Avoir le nez qui coule.
"Être mieux de se tenir le corps raides et les oreilles molles"
Être mieux de rester calme.
"Avoir le feu au cul"
-Être en rogne.
"Pèter le feux"
-Être en pleine forme.
"Avoir a la gueule fendue jusqu'aux oreilles"
-Sourire fièrement.
"Avoir le flux"
-Avoir de la diarrhée
"Avoir le moton"
-Être ému
"Avoir les garcettes en l'air"
-Gesticuler beaucoup
"Avoir les yeux crasses"
-Avoir les yeux enjôleurs
-"Elle veut son biscuit"
-Elle désire une relation sexuelle
"Avoir une poignée dans le dos"
-Se faire prendre pour un imbécile
"Faire un rapport"
-Faire un rot
"Avoir déjà vu neiger"
-Avoir de l'expérience
"Se penser smatte"
-Se penser intelligent
"Beurrer épais"
-Exagérer une situation
"Branler dans le manche"
-Avoir de la difficulté à faire un choix
"Quelque chose de broche à foin"
-Quelque chose de mal organisé
"Quelqu'un de loadé"
-Quelqu'un qui a plein de travaux à faire
"Être gorlôt"
-Être îvre.
"Être pompette"
-Être légèrement ivre.
"Être chicken"
-Être peureux
"Partir sur un go"
-Faire la fête
"Passer dans le beurre"
-Manquer son coup
"Manger ses bas"
-Avoir de graves problèmes
"Être rendu à boutte"
-Être épuisé
"Courir la galipote""
-Avoir de nombreuses aventures
"Avoir à prendre tout mon change"
-Avoir a faire de gros efforts.
"Y a-tu vu la bette ?"
-As-tu vu son expression ? (en parlant de quelqu'un)
"Être viré sur le top"
-Avoir perdu la raison
"Être viré fif"
-Être devenu homosexuel.
"Une vieille sacoche"
-Une femme agée peu aimable.
"Se faire tirer la pipes"
-Croire naïvement a des histoires
"Taper sur les nerfs"
-Être dérangeant et insuportable.
"Tirer la plugue"
-Mettre fin à une situation
"Se tirer une bûche"
-Se prendre une chaise.
"Se péter les bretelles"
-Être plus fier que les autres.
"Se poigner le moine"
-Être là à rien faire
"Se mettre sur ton 36"
-Porter de beaux vêtements
"S'énerver le poil des jambes"
-Être en panique.
"S'enfarger dans les fleurs du tapis"
-S'arrêter à des détails insignifiants
"Sentir le ouistiti"
-Sentir très mauvais.
"Se fendre le cul en quatre"
-Faire de très gros efforts
"Se faire passer un sapin"
-S faire jouer dans le dos
"Ne pas être sorti du bois"
-Ne pas être pas au bout de nos peines.
"Dégrayé la table"
-Desservir le couvert
"Se faire dumper"
-Se faire laisser tomber.
"Se faire chier dans les mains"
-Se faire laisser tomber, à la toute dernière minute.
"Checker les fiouses"
-Vérifier les fusibles
"Avoir une grosse paire de jos"
-Avoir des gros nichons.
"Qu'ossa donne?"
-Quelle sera la conclusion ?
"Qu'ossé qu'tà ?"
-Qu'est qui ne va pas ?
"De qu'ossé ?"
-Plait-il ?
"Une patente à gosse"
-Un truc qui fonctionne mal
"Une vraie réguine"
-Quelque chose d'obselète.
"Ast'heure"
-maintenant
"Aller au batte"
-Se présenter au marbre (baseball)
-Affronter une situation difficile (courant)
"Des barniques"
-Des lunettes
"Une bopépine"
-Une pince à cheveux
"Un Bazou ou une Minoune"
-Vieille voiture
"Une bécosse"
-Une toilette sèche
"La boss des bécosses"
-Quelqu'un qui donne des ordres
"Les bœufs, les cochons ou les poulets"
-Les policiers
"Une bière tablette"
-Une bière à la température de la pièce
"Quelqu'un de bizounneux"
-Quelqu'un qui ne fait pas grand-chose.
"Être un bon jack"
-Quelqu'un de très gentil
"Une butch de cigarette"
-Un mégot de cigarette
"Un boc de bière"
Un verre de bière pression
"Prendre un petit coup"
-Prendre de la boisson alcoolisée
"Être bumpée"
Perdre son poste par une personne plus ancienne.
"Caller son verre"
-Boire d'un trait
"Câller un taxi"
-Se faire venir un taxi
"Câller une pizza"
-Se faire livrer une pizza
"Un chars"
-Une voiture
"Capot de chat"
-un manteau de fourrure de chat sauvage
"Capoter"
-Perdre patience
"Chigner"
Pleurer
"Chenolles"
-Testicules
"Aller gazer"
-Aller mettre de l'essence
"Le chat est sortie du sac"
-La vérité sort au grand jours
"Sortir du garde-robe"
-Sortir du placard
"Jaser"
-Discuter
"Une commère"
-Femme bavarde
"Commèrer"
-Bavarder
"Mémère"
-Grand-Mère
"Un porte-panier"
-Un mouchard
"Une grand-yeule"
-Un rapporteur
"Cul-de-sac"
-Impasse
Voici quelques expressions québécoises et leurs traductions.
Ça va aider nos cousins de France à nous comprendre.
"Un gros merde"
-Bonne chance
"Faire la baboune"
-Bouder
"Avoir pas mal de foin"
-Avoir beaucoup d'argent
"Avoir des papillons dans le ventre"
-être nerveux, avoir le trac
"Avoir la chienne"
-Avoir peur.
"Avoir danse de St-Guy"
-Quelqu'un qui bouge tout le temps.
"Avoir de la mine dans le crayon"
-Avoir un gros appétit sexuel.
"Avoir de la luck"
-Avoir de la chance.
"Avoir la guédille au nez"
-Avoir le nez qui coule.
"Être mieux de se tenir le corps raides et les oreilles molles"
Être mieux de rester calme.
"Avoir le feu au cul"
-Être en rogne.
"Pèter le feux"
-Être en pleine forme.
"Avoir a la gueule fendue jusqu'aux oreilles"
-Sourire fièrement.
"Avoir le flux"
-Avoir de la diarrhée
"Avoir le moton"
-Être ému
"Avoir les garcettes en l'air"
-Gesticuler beaucoup
"Avoir les yeux crasses"
-Avoir les yeux enjôleurs
-"Elle veut son biscuit"
-Elle désire une relation sexuelle
"Avoir une poignée dans le dos"
-Se faire prendre pour un imbécile
"Faire un rapport"
-Faire un rot
"Avoir déjà vu neiger"
-Avoir de l'expérience
"Se penser smatte"
-Se penser intelligent
"Beurrer épais"
-Exagérer une situation
"Branler dans le manche"
-Avoir de la difficulté à faire un choix
"Quelque chose de broche à foin"
-Quelque chose de mal organisé
"Quelqu'un de loadé"
-Quelqu'un qui a plein de travaux à faire
"Être gorlôt"
-Être îvre.
"Être pompette"
-Être légèrement ivre.
"Être chicken"
-Être peureux
"Partir sur un go"
-Faire la fête
"Passer dans le beurre"
-Manquer son coup
"Manger ses bas"
-Avoir de graves problèmes
"Être rendu à boutte"
-Être épuisé
"Courir la galipote""
-Avoir de nombreuses aventures
"Avoir à prendre tout mon change"
-Avoir a faire de gros efforts.
"Y a-tu vu la bette ?"
-As-tu vu son expression ? (en parlant de quelqu'un)
"Être viré sur le top"
-Avoir perdu la raison
"Être viré fif"
-Être devenu homosexuel.
"Une vieille sacoche"
-Une femme agée peu aimable.
"Se faire tirer la pipes"
-Croire naïvement a des histoires
"Taper sur les nerfs"
-Être dérangeant et insuportable.
"Tirer la plugue"
-Mettre fin à une situation
"Se tirer une bûche"
-Se prendre une chaise.
"Se péter les bretelles"
-Être plus fier que les autres.
"Se poigner le moine"
-Être là à rien faire
"Se mettre sur ton 36"
-Porter de beaux vêtements
"S'énerver le poil des jambes"
-Être en panique.
"S'enfarger dans les fleurs du tapis"
-S'arrêter à des détails insignifiants
"Sentir le ouistiti"
-Sentir très mauvais.
"Se fendre le cul en quatre"
-Faire de très gros efforts
"Se faire passer un sapin"
-S faire jouer dans le dos
"Ne pas être sorti du bois"
-Ne pas être pas au bout de nos peines.
"Dégrayé la table"
-Desservir le couvert
"Se faire dumper"
-Se faire laisser tomber.
"Se faire chier dans les mains"
-Se faire laisser tomber, à la toute dernière minute.
"Checker les fiouses"
-Vérifier les fusibles
"Avoir une grosse paire de jos"
-Avoir des gros nichons.
"Qu'ossa donne?"
-Quelle sera la conclusion ?
"Qu'ossé qu'tà ?"
-Qu'est qui ne va pas ?
"De qu'ossé ?"
-Plait-il ?
"Une patente à gosse"
-Un truc qui fonctionne mal
"Une vraie réguine"
-Quelque chose d'obselète.
"Ast'heure"
-maintenant
"Aller au batte"
-Se présenter au marbre (baseball)
-Affronter une situation difficile (courant)
"Des barniques"
-Des lunettes
"Une bopépine"
-Une pince à cheveux
"Un Bazou ou une Minoune"
-Vieille voiture
"Une bécosse"
-Une toilette sèche
"La boss des bécosses"
-Quelqu'un qui donne des ordres
"Les bœufs, les cochons ou les poulets"
-Les policiers
"Une bière tablette"
-Une bière à la température de la pièce
"Quelqu'un de bizounneux"
-Quelqu'un qui ne fait pas grand-chose.
"Être un bon jack"
-Quelqu'un de très gentil
"Une butch de cigarette"
-Un mégot de cigarette
"Un boc de bière"
Un verre de bière pression
"Prendre un petit coup"
-Prendre de la boisson alcoolisée
"Être bumpée"
Perdre son poste par une personne plus ancienne.
"Caller son verre"
-Boire d'un trait
"Câller un taxi"
-Se faire venir un taxi
"Câller une pizza"
-Se faire livrer une pizza
"Un chars"
-Une voiture
"Capot de chat"
-un manteau de fourrure de chat sauvage
"Capoter"
-Perdre patience
"Chigner"
Pleurer
"Chenolles"
-Testicules
"Aller gazer"
-Aller mettre de l'essence
"Le chat est sortie du sac"
-La vérité sort au grand jours
"Sortir du garde-robe"
-Sortir du placard
"Jaser"
-Discuter
"Une commère"
-Femme bavarde
"Commèrer"
-Bavarder
"Mémère"
-Grand-Mère
"Un porte-panier"
-Un mouchard
"Une grand-yeule"
-Un rapporteur
"Cul-de-sac"
-Impasse
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